[Test OMID] Fiches d’identité d’indicateurs

Fiches d'identité indicateurs

Nom de l'indicateurNom de l’organisme créateur, son statut, missionsCouverture géographiqueAnnées disponiblesNature des données récoltéesMéthode de calcul de l’indicateurDomaine d’application / Objet évaluéThème voire sous-thèmeValeurs possibles de l’indicateurLienIndicateurs similairesIndicateurs du même institut
Corruption Perception Index (TI)Transparency international est un mouvement indépendant allemand, non gouvernemental, à but non lucratif et présent dans plus de cent pays dans le monde. Il a pour mission de mettre fin à la corruption et de promouvoir la transparence, la responsabilité et l'intégrité à tous les niveaux et dans tous les secteurs de la société.Mondiale1995 à 2023Le CPI s'appuie sur les données collectées par 13 institutions dont la Banque mondiale, le Forum économique mondial, des sociétés privées de conseil et de gestion des risques, ou encore des groupes de réflexion. Ainsi, les scores attribués par l’indicateur reflètent les points de vue d’experts du monde des affaires sur un certain nombre de comportements corrompus dans le secteur public (la corruption, le détournement de fonds publics, l'utilisation d'une fonction publique à des fins privées…).Chaque institution professionnelle évalue un concept particulier, qui doit être explicitement lié aux niveaux de corruption ou aux risques de corruption dans le secteur public, selon ses propres critères. Transparency International examine la solidité de la méthodologie utilisée par les institutions qui produisent ces données. Une fois vérifiées, elles sont normalisées pour permettre l'agrégation dans le score final donné par le CPI. La normalisation convertit tous les points de données sur une échelle de 0 à 100, où 0 représente le niveau le plus élevé de corruption perçue, et 100 le niveau le plus bas de corruption perçue. Le score CPI de chaque pays est calculé comme une simple moyenne de tous les scores rééchelonnés disponibles pour ce pays. Ainsi, un pays ne se verra attribuer une note que s'il existe au moins trois sources de données permettant de calculer cette moyenne. En 2012, d'importants changements ont été apportés à la méthodologie afin de permettre la comparaison des scores de différents pays dans le temps.La corruption dans le secteur public au niveau mondialAction publiquede 0 à 100https://www.transparency.org/fr/press/cpi2023-corruption-perceptions-index-weakening-justice-systems-leave-corruption-uncheckedControl of Corruption (WGI)
Freedom of the Net (FH)Freedom House est une ONG américaine fondée en 1941 qui soutient et défend la démocratie à travers le monde. Son principal objectif consiste à protéger les démocraties en place et les droits de l'homme. L’ONG déploie également des moyens pour protéger les victimes des régimes autoritaires et finance les militants qui se soulèvent face à la dictature de leur pays.Mondiale2011 à 2023L’indice promulgue un système de notation des pays de 0 à 100. Les notes sont calculées sur la base d’un questionnaire comprenant 21 questions et 100 sous-questions réparties en 3 grands thèmes : Obstacles à l’accès d’Internet (0 à 25 points), Limites du contenu (0 à 35 points) et Violation des droits des utilisateurs (0 à 40 points). Les réponses attribuent des points qui, une fois agrégés, constituent le score global du pays. Ils sont établis par des spécialistes de Freedom House assistés par des chercheurs de tous les pays, sur la base de rapports nationaux de chaque pays. Les chercheurs sont présents pour ajuster la méthodologie du questionnaire et les notes obtenues selon les spécificités des pays ainsi qu’apporter une analyse sur l’évolution des libertés d’internet dans leur pays respectif. Pour chaque pays, les réponses du questionnaire sont additionnées pour donner un score total sur 100, 100 étant la meilleure note qu’un pays puisse obtenir. Selon leur score final, les pays sont ensuite classés selon les trois catégories suivantes : (i) une note comprise entre 0 et 39 correspond à une liberté internet “non libre” ; (ii) une notre comprise entre 40 et 69 correspond à une liberté partielle en ligne “partiellement libre” ; (iii) une note comprise entre 70 et 100 correspond à une liberté internet “libre”Le niveau de liberté d’internet dans chaque pays Démocratiede 0 à 100https://freedomhouse.org/reports/freedom-net/freedom-net-research-methodology Freedom in the World (FH) et Freedom of the Press (FH)
Rule of Law (WGI)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Mondiale1996 à 2022Les indicateurs mondiaux de gouvernance (WGI) ont été développés en 1999 par Daniel Kaufmann et Aart Kraay, deux chercheurs de la Banque mondiale. Ils sont conçus pour aider les chercheurs et les analystes à évaluer les vastes modèles de perception de la gouvernance à travers les pays et au fil du temps. La gouvernance correspond à la manière dont est sélectionnée, exercée, surveillée et remplacée l’autorité d’un pays. La gouvernance évalue également le respect des gouvernants envers leurs citoyens, leur mise en œuvre des politiques publiques et leur respect des institutions. Les WGI regroupent les données de plus de 30 groupes de réflexion, organisations internationales, organisations non gouvernementales et entreprises privées à travers le monde. Pour être sélectionnées, elles doivent être produites par des organisations crédibles, comparables entre les pays et régulièrement mises à jour. Basées sur des avis d’experts et des dizaines de milliers de répondants à une enquête, les données reflètent les différents points de vue sur la gouvernance de nombreuses parties prenantes dans le monde.Les indicateurs de gouvernance sont évalués selon six dimensions (voice and accountability, political stability and absence of violence/terrorism, government effectiveness, regulatory quality, rule of law et control of corruption). Une fois sélectionnées, les données qui proviennent de sources individuelles sont affectées à chaque indicateur, puis rééchelonnées de 0 à 1. Un modèle à composantes non observées est ensuite utilisé pour rendre ces données rééchelonnées comparables d'une source à l'autre et pour construire une moyenne pondérée des données de chaque source pour chaque pays. L'une des principales caractéristiques de cette méthodologie est qu'elle génère des marges d'erreur pour chaque estimation de la gouvernance, qui doivent être prises en compte lors des comparaisons entre pays et dans le temps. L’indicateur Rule of Law évalue la confiance des agents dans les règles de la société et leur respect, en particulier la qualité de l'exécution des contrats, les droits de propriété, la police et les tribunaux, ainsi que la probabilité de criminalité et de violence.Confiance et respect des règles de droit Action publiquede -2.5 à 2.5https://info.worldbank.org/governance/wgi/Rule of Law (WJP), Rule of Law (BF), Global rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC) et Security and Rule of Law (IIAG)Government Effectiveness (WGI), Regulatory Quality (WGI), Control of Corruption (WGI), Voice and Accountability (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Doing Business (WB), Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Government Effectiveness (WGI)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Mondiale1996 à 2022Les indicateurs mondiaux de gouvernance (WGI) ont été développés en 1999 par Daniel Kaufmann et Aart Kraay, deux chercheurs de la Banque mondiale. Ils sont conçus pour aider les chercheurs et les analystes à évaluer les vastes modèles de perception de la gouvernance à travers les pays et au fil du temps. La gouvernance correspond à la manière dont est sélectionnée, exercée, surveillée et remplacée l’autorité d’un pays. La gouvernance évalue également le respect des gouvernants envers leurs citoyens, leur mise en œuvre des politiques publiques et leur respect des institutions. Les WGI regroupent les données de plus de 30 groupes de réflexion, organisations internationales, organisations non gouvernementales et entreprises privées à travers le monde. Pour être sélectionnées, elles doivent être produites par des organisations crédibles, comparables entre les pays et régulièrement mises à jour. Basées sur des avis d’experts et des dizaines de milliers de répondants à une enquête, les données reflètent les différents points de vue sur la gouvernance de nombreuses parties prenantes dans le monde.Les indicateurs de gouvernance sont évalués selon six dimensions (voice and accountability, political stability and absence of violence/terrorism, government effectiveness, regulatory quality, rule of law et control of corruption). Une fois sélectionnées, les données qui proviennent de sources individuelles sont affectées à chaque indicateur, puis rééchelonnées de 0 à 1. Un modèle à composantes non observées est ensuite utilisé pour rendre ces données rééchelonnées comparables d'une source à l'autre et pour construire une moyenne pondérée des données de chaque source pour chaque pays. L'une des principales caractéristiques de cette méthodologie est qu'elle génère des marges d'erreur pour chaque estimation de la gouvernance, qui doivent être prises en compte lors des comparaisons entre pays et dans le temps. L’indicateur Government Effectiveness est évalué selon plusieurs éléments, à savoir la perception de la qualité des services publics, la qualité de la fonction publique, son degré d’indépendance face aux pressions politiques, la qualité de la conception et de la mise en œuvre des politiques, ou encore la crédibilité de l'engagement gouvernemental envers ces politiques.L’efficacité des gouvernementsAction publiquede -2.5 à 2.5https://info.worldbank.org/governance/wgi/Judicial Effectiveness (HF) et Government Integrity (HF)Rule of Law (WGI), Regulatory Quality (WGI), Control of Corruption (WGI), Voice and Accountability (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Doing Business (WB), Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Regulatory Quality (WGI)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Mondiale1996 à 2022Les indicateurs mondiaux de gouvernance (WGI) ont été développés en 1999 par Daniel Kaufmann et Aart Kraay, deux chercheurs de la Banque mondiale. Ils sont conçus pour aider les chercheurs et les analystes à évaluer les vastes modèles de perception de la gouvernance à travers les pays et au fil du temps. La gouvernance correspond à la manière dont est sélectionnée, exercée, surveillée et remplacée l’autorité d’un pays. La gouvernance évalue également le respect des gouvernants envers leurs citoyens, leur mise en œuvre des politiques publiques et leur respect des institutions. Les WGI regroupent les données de plus de 30 groupes de réflexion, organisations internationales, organisations non gouvernementales et entreprises privées à travers le monde. Pour être sélectionnées, elles doivent être produites par des organisations crédibles, comparables entre les pays et régulièrement mises à jour. Basées sur des avis d’experts et des dizaines de milliers de répondants à une enquête, les données reflètent les différents points de vue sur la gouvernance de nombreuses parties prenantes dans le monde.Les indicateurs de gouvernance sont évalués selon six dimensions (voice and accountability, political stability and absence of violence/terrorism, government effectiveness, regulatory quality, rule of law et control of corruption). Une fois sélectionnées, les données qui proviennent de sources individuelles sont affectées à chaque indicateur, puis rééchelonnées de 0 à 1. Un modèle à composantes non observées est ensuite utilisé pour rendre ces données rééchelonnées comparables d'une source à l'autre et pour construire une moyenne pondérée des données de chaque source pour chaque pays. L'une des principales caractéristiques de cette méthodologie est qu'elle génère des marges d'erreur pour chaque estimation de la gouvernance, qui doivent être prises en compte lors des comparaisons entre pays et dans le temps. L’indicateur Regulatory Quality (WGI) reflète la capacité du gouvernement à formuler et à mettre en œuvre des politiques et des réglementations saines qui permettent et favorisent le développement du secteur privé.Qualité de la réglementationAction publiquede -2.5 à 2.5https://info.worldbank.org/governance/wgi/Rule of Law (WGI), Government Effectiveness (WGI), Control of Corruption (WGI), Voice and Accountability (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Doing Business (WB), Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Control of Corruption (WGI)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Mondiale1996 à 2022Les indicateurs mondiaux de gouvernance (WGI) ont été développés en 1999 par Daniel Kaufmann et Aart Kraay, deux chercheurs de la Banque mondiale. Ils sont conçus pour aider les chercheurs et les analystes à évaluer les vastes modèles de perception de la gouvernance à travers les pays et au fil du temps. La gouvernance correspond à la manière dont est sélectionnée, exercée, surveillée et remplacée l’autorité d’un pays. La gouvernance évalue également le respect des gouvernants envers leurs citoyens, leur mise en œuvre des politiques publiques et leur respect des institutions. Les WGI regroupent les données de plus de 30 groupes de réflexion, organisations internationales, organisations non gouvernementales et entreprises privées à travers le monde. Pour être sélectionnées, elles doivent être produites par des organisations crédibles, comparables entre les pays et régulièrement mises à jour. Basées sur des avis d’experts et des dizaines de milliers de répondants à une enquête, les données reflètent les différents points de vue sur la gouvernance de nombreuses parties prenantes dans le monde.Les indicateurs de gouvernance sont évalués selon six dimensions (voice and accountability, political stability and absence of violence/terrorism, government effectiveness, regulatory quality, rule of law et control of corruption). Une fois sélectionnées, les données qui proviennent de sources individuelles sont affectées à chaque indicateur, puis rééchelonnées de 0 à 1. Un modèle à composantes non observées est ensuite utilisé pour rendre ces données rééchelonnées comparables d'une source à l'autre et pour construire une moyenne pondérée des données de chaque source pour chaque pays. L'une des principales caractéristiques de cette méthodologie est qu'elle génère des marges d'erreur pour chaque estimation de la gouvernance, qui doivent être prises en compte lors des comparaisons entre pays et dans le temps. L’indicateur Control of Corruption reflète les perceptions de l'utilisation du pouvoir public à des fins privées, y compris les petites et grandes formes de corruption, ainsi que la «capture» de l’État par les élites et les intérêts privés.La corruption dans le secteur publicAction publiquede -2.5 à 2.5https://info.worldbank.org/governance/wgi/Corruption Perception Index (TI)Rule of Law (WGI), Government Effectiveness (WGI) Regulatory Quality (WGI), Voice and Accountability (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Doing Business (WB), Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Voice and Accountability (WGI)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Mondiale1996 à 2022Les indicateurs mondiaux de gouvernance (WGI) ont été développés en 1999 par Daniel Kaufmann et Aart Kraay, deux chercheurs de la Banque mondiale. Ils sont conçus pour aider les chercheurs et les analystes à évaluer les vastes modèles de perception de la gouvernance à travers les pays et au fil du temps. La gouvernance correspond à la manière dont est sélectionnée, exercée, surveillée et remplacée l’autorité d’un pays. La gouvernance évalue également le respect des gouvernants envers leurs citoyens, leur mise en œuvre des politiques publiques et leur respect des institutions. Les WGI regroupent les données de plus de 30 groupes de réflexion, organisations internationales, organisations non gouvernementales et entreprises privées à travers le monde. Pour être sélectionnées, elles doivent être produites par des organisations crédibles, comparables entre les pays et régulièrement mises à jour. Basées sur des avis d’experts et des dizaines de milliers de répondants à une enquête, les données reflètent les différents points de vue sur la gouvernance de nombreuses parties prenantes dans le monde.Les indicateurs de gouvernance sont évalués selon six dimensions (voice and accountability, political stability and absence of violence/terrorism, government effectiveness, regulatory quality, rule of law et control of corruption). Une fois sélectionnées, les données qui proviennent de sources individuelles sont affectées à chaque indicateur, puis rééchelonnées de 0 à 1. Un modèle à composantes non observées est ensuite utilisé pour rendre ces données rééchelonnées comparables d'une source à l'autre et pour construire une moyenne pondérée des données de chaque source pour chaque pays. L'une des principales caractéristiques de cette méthodologie est qu'elle génère des marges d'erreur pour chaque estimation de la gouvernance, qui doivent être prises en compte lors des comparaisons entre pays et dans le temps. L’indicateur Voice and Accountability évalue la participation des citoyens d'un pays au choix de leur gouvernement, ainsi que la liberté d'expression, la liberté d'association et la liberté des médias. Participation politique et liberté des citoyens Action publiquede -2.5 à 2.5https://info.worldbank.org/governance/wgi/Political Participation (BF) et Political and Social Integration (BF)Rule of Law (WGI), Government Effectiveness (WGI), Control of Corruption (WGI), Regulatory Quality (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Doing Business (WB), Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Mondiale1996 à 2022Les indicateurs mondiaux de gouvernance (WGI) ont été développés en 1999 par Daniel Kaufmann et Aart Kraay, deux chercheurs de la Banque mondiale. Ils sont conçus pour aider les chercheurs et les analystes à évaluer les vastes modèles de perception de la gouvernance à travers les pays et au fil du temps. La gouvernance correspond à la manière dont est sélectionnée, exercée, surveillée et remplacée l’autorité d’un pays. La gouvernance évalue également le respect des gouvernants envers leurs citoyens, leur mise en œuvre des politiques publiques et leur respect des institutions. Les WGI regroupent les données de plus de 30 groupes de réflexion, organisations internationales, organisations non gouvernementales et entreprises privées à travers le monde. Pour être sélectionnées, elles doivent être produites par des organisations crédibles, comparables entre les pays et régulièrement mises à jour. Basées sur des avis d’experts et des dizaines de milliers de répondants à une enquête, les données reflètent les différents points de vue sur la gouvernance de nombreuses parties prenantes dans le monde.Les indicateurs de gouvernance sont évalués selon six dimensions (voice and accountability, political stability and absence of violence/terrorism, government effectiveness, regulatory quality, rule of law et control of corruption). Une fois sélectionnées, les données qui proviennent de sources individuelles sont affectées à chaque indicateur, puis rééchelonnées de 0 à 1. Un modèle à composantes non observées est ensuite utilisé pour rendre ces données rééchelonnées comparables d'une source à l'autre et pour construire une moyenne pondérée des données de chaque source pour chaque pays. L'une des principales caractéristiques de cette méthodologie est qu'elle génère des marges d'erreur pour chaque estimation de la gouvernance, qui doivent être prises en compte lors des comparaisons entre pays et dans le temps. L’indicateur Political Stability and Absence of Violence/Terrorism mesure les perceptions de la probabilité d'instabilité politique et/ou de violence à motivation politique, y compris le terrorisme.La stabilité politique et l’absence de violence et de terrosimeAction publiquede -2.5 à 2.5https://info.worldbank.org/governance/wgi/Stability of Democratic Institutions (BF)Rule of Law (WGI), Government Effectiveness (WGI) Regulatory Quality (WGI), Control of Corruption (WGI), Voice and Accountability (WGI), Doing Business (WB), Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Doing Business (WB)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Mondiale2010 à 2020De 2003 à 2020, la Banque mondiale publie chaque année le rapport Doing Business et à partir de 2010, des scores sont disponibles pour chaque pays. Ce projet vise à évaluer l’efficacité des économies de tous les pays par rapport au référentiel “meilleures pratiques réglementaires”, déterminé par les chercheurs pour fructifier de manière optimale l’économie. L’indicateur Doing Business encourage également la concurrence entre les pays. Ces derniers peuvent ainsi faire des comparaisons entre leur modèle d’affaires pour l’améliorer en vue d’obtenir un meilleur score et donc une meilleure efficacité de leur économie. Concrètement, l’indicateur analyse les petites et moyennes entreprises au niveau national et évalue la réglementation qui s’applique à elles, tout au long de leur cycle de vie. La Banque Mondiale propose ainsi des points de comparaisons mesurables et offre une source documentaire aux universitaires, journalistes, chercheurs du secteur privé et à ceux qui s'intéressent au climat des affaires dans les économies mondiales.L'indicateur Doing Business mesure la facilité à faire des affaires en évaluant la performance d'une économie par rapport à une mesure des meilleures pratiques réglementaires sur un ensemble de 41 sous-indicateurs regroupés en 10 thèmes de Doing Business. Les 10 thèmes sont les suivants : (i) création d’entreprise, (ii) transfert de propriété, (iii) obtention de prêts, (iv) protection des investisseurs minoritaires, (v) paiement des taxes et impôts, (vi) exécution des contrats, (vii) règlement de l’insolvabilité, (viii) obtention des permis de construire, (ix) raccordement à l’électricité, (x) commerce transfrontalier. Doing Business utilise la méthode la plus simple : pondérer tous les thèmes de manière égale et, pour chaque thème, donner un poids égal à chacune de ses composantes. Le score d’une économie est calculé sur une échelle de 0 à 100, où 0 représente la performance la plus basse et 100 représente la meilleure performance. Ainsi, le score recense l’écart de chaque économie par rapport à la meilleure performance réglementaire pour chaque critère. À titre d’exemple, un score de la facilité de faire des affaires de 75 signifie que l’économie a un écart de 25 points par rapport à la meilleure performance réglementaire, mesurée à travers toutes les économies et dans le temps.La facilité à faire des affairesÉconomiede 0 à 100https://archive.doingbusiness.org/en/data/doing-business-scoreGlobal rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC), Business regulatory environment rating (CPIA) et Business Freedom (HF)Rule of Law (WGI), Government Effectiveness (WGI), Regulatory Quality (WGI), Control of Corruption (WGI), Voice and Accountability (WGI) et Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Rule of Law (WJP)World Justice Project (WJP) est une organisation américaine indépendante à but non lucratif fondée par William H. Neukom en 2006. L’objectif de l’organisation se décline en 3 missions : permettre une meilleure compréhension de ce qu’est l’État de droit et de son importance (1), garantir un plus grand respect de l’État de droit par les différents gouvernements du monde (2), favoriser une culture multidisciplinaire et locale de l’État de droit (3). Le WJP cherche à promouvoir, défendre, et faire progresser l'État de droit dans les différents pays du monde en influençant les gouvernements et autres parties prenantes pour qu’ils mettent en place des actions afin de garantir les droits fondamentaux à toute la population de leur pays. Les méthodes d’intervention de l’organisation se traduisent par des conférences régionales adaptées au contexte de chaque pays, l’élaboration de plans stratégiques pour répondre aux défis locaux, la distribution de subventions pour aider à la mise en place d’un meilleur État de droit et un soutien aux initiatives locales des pays. L’État de droit fait référence aux préoccupations de sécurité, de gouvernance, de droit et de dignité humaine. Un État du droit efficace conduit à la paix, à une hausse de la participation politique et à une amélioration de la croissance économique tout en réduisant les inégalités, la pauvreté, la maladie, la corruption, et la pollution. Mondiale2012 à 2023Le WJP construit ses données sur la base de deux questionnaires dont les répondants sont les individus (Sondage Général de la Population) et des juristes et experts (Questionnaire de Répondants Qualifiés) issus des différents pays évalués. Les résultats des deux questionnaires permettent de s’approcher des réalités et pratiques quotidiennes vécues par l’ensemble de la population concernant l’État de droit. En 2023, c’est plus de 149 000 ménages et 3400 juristes et experts qui ont été sollicités pour façonner l’indicateur Rule of Law qui présente les scores de 142 pays. Pour évaluer la performance des pays concernant l’État de droit, le WJP se base sur l’ensemble des réponses aux deux questionnaires SGP et QPQ. Chaque questionnaire est administré par les instituts de sondages locaux et basé sur un échantillon d’environ 1000 répondants pour chaque pays. Les questions comprennent 44 sous-facteurs répartis dans les 8 grands thèmes suivants : Contraintes sur les pouvoirs du gouvernement (i), Absence de corruption (ii), Ouverture des gouvernements (iii), Droits fondamentaux (iv), Ordre et sécurité (v), Application de la réglementation (vi), Accès à la justice civile (vii) et la Justice pénale (viii). Toutes les réponses réparties dans les 44 sous-facteurs sont ensuite évaluées par les experts entre 0 et 1 (1 représentant l’adhésion la plus forte à l’État de droit). Les chercheurs font ensuite la moyenne des notes selon les 44 sous-facteurs qu’ils pondèrent de manière égale pour ensuite obtenir un score final pour chaque pays compris entre 0 et 1 où 0 représente l’adhésion la plus faible à l’État de droit.Performance de l’État de droitAction publique de 0 à 1https://worldjusticeproject.org/ Rule of Law (WGI), Rule of Law (BF), Global rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC) et Security and Rule of Law (IIAG)
Global Rights Index (CSI)La Confédération syndicale internationale (CSI) a été fondée en 2006 à Vienne, à la suite d’une fusion entre la Confédération internationale des syndicats libres (CISL) et la Confédération mondiale du travail (CMT). La CSI est une confédération de centrales syndicales nationales, où chacune regroupe des syndicats de son pays. Elle est perçue comme la porte-parole de millions de travailleurs et de travailleuses au niveau mondial. Sa mission première est la promotion et la défense des droits et des intérêts des travailleurs, par le biais de la coopération internationale entre les syndicats, ainsi que la réalisation de campagnes mondiales et d'actions militantes au sein des grandes institutions internationales.Mondiale2015 à 2023Depuis 2015, la CSI évalue chaque année les pays en fonction de leur respect des droits collectifs au travail. Pour ce faire, elle recueille des informations sur les violations des droits reconnus à l’échelle internationale que certains gouvernements et employeurs commettent. Pour ce faire, un questionnaire est envoyé à 331 syndicats nationaux de 163 pays pour qu’ils référencent les violations des droits des travailleurs et des travailleuses en fournissant des détails. Ces questionnaires sont ensuite distribués, expliqués et complétés au cours de réunions régionales, qui sont organisées avec des experts des droits humains et syndicaux. Lorsque la CSI prend connaissance d’une infraction, celle-ci contacte directement les syndicats afin qu’ils confirment ou non les faits. De plus, des juristes interviennent pour analyser la législation nationale et identifier tout texte de loi qui ne protégerait pas suffisamment les droits collectifs au travail internationalement reconnus. Les informations avérées sont compilées sous forme de texte dans le Rapport des violations des droits syndicaux de la CSI, où est évoqué la situation de chaque pays. L’état des violations du travail de chaque pays est examiné par rapport à une liste de 97 indicateurs issus des conventions et de la jurisprudence de l’Organisation internationale du Travail (OIT), représentant chacun une violation des droits au travail en droit et dans la pratique. Ces indicateurs composites sont regroupés en cinq catégories : (i) Libertés civiles, (ii) Droit de constituer un syndicat et de s’y affilier, (iii) Activités syndicales, (iv) Droit de négociation collective et (v) Droit de grève. Les membres de la CSI attribuent un score pour chaque pays en analysant l’état des violations du droit du travail. Ainsi, un point est attribué à chaque fois qu’une violation correspond à un des 97 indicateurs. Les points obtenus pour chaque pays sont ensuite additionnés pour constituer la note finale du pays. L’Indice Global Rights Index évalue plus de 140 pays sur une échelle de 1 à 5+ selon leur niveau de respect des droits collectifs au travail, où 1 correspond à la meilleure note et 5+ à la pire note qu’un pays puisse obtenir.Le droit des travailleursÉconomiede 1 à 5+https://www.globalrightsindex.org/en/2023Worker’s Rights (CIRI), Right to Work (SERF_Low and Middle Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Global competitiveness index (WE forum) Le Forum économique mondial est une organisation internationale à but non lucratif fondée en 1971 par l’économiste allemand Klaus Schwab. L’objectif du Forum est de favoriser les interactions et la coopération entre les partenaires publics (gouvernements, universitaires, société civile) et le privé (multinationales) dans le but de faire face, de manière unifiée, aux défis environnementaux, économiques, politiques, sociaux et technologiques du monde. L’organisation prévoit notamment chaque année, une réunion à Davos, en Suisse, où l’ensemble des parties prenantes (chefs d’État, PDG, universitaires, dirigeants d’organisations non gouvernementales internationales) est invité à réfléchir et à trouver des solutions aux problématiques mondiales. Indépendant et impartial, la principale mission du Forum vise à améliorer l'état du monde à travers la création d’un dialogue respectueux des différentes croyances des parties prenantes, où chaque voix peut être entendue. Le Forum publie également de nombreux rapports et implique ses membres dans des initiatives liées à des secteurs spécifiques.Mondiale2004 à 2019Le rapport annuel sur la compétitivité mondiale est publié depuis 1979 et analyse les perspectives économiques de 141 pays. L’objectif du rapport est de stimuler la croissance économique des différents pays dans le but d’améliorer les niveaux de vie de la population mondiale. À travers cet indicateur, le Forum économique souhaite démontrer “qu'il n'y a pas de compromis inhérents entre le renforcement de la compétitivité, la création de sociétés plus équitables qui offrent des opportunités à tous et la transition vers des systèmes durables sur le plan environnemental”. Pour qu’une transformation suffisante de la société se mette en place, il est essentiel que des politiques publiques proactives soient élaborées afin de concilier les trois piliers que sont le développement durable, la croissance économique et l’inclusion. L’indicateur évalue la compétitivité nationale, c'est-à-dire l’ensemble des facteurs qui déterminent le niveau de productivité de chaque pays. Le Global Competitiveness Index est composé de 12 piliers, qui comportent chacun des catégories, qui contiennent elles-mêmes des indicateurs (103 au total) qui sont dérivés d'une combinaison de données provenant d'organisations internationales ainsi que de l'enquête d'opinion des cadres du Forum économique mondial. Pour évaluer chaque indicateur, diverses sources sont utilisées. Les scores obtenus se basent sur la réponse à des questionnaires créés par le Forum Économique. C’est par exemple le cas de l’indicateur “Crime organisé” appartenant à la catégorie “Sécurité” du pilier “Institutions”. Toutefois, certains scores reposent sur des sources tierces publiées par d’autres organisations. Le World Press Freedom Index de RSF est notamment utilisé pour évaluer l’indicateur “Liberté de la presse” appartenant à la catégorie “Contrôles et équilibres” du pilier “Institutions”. L’évaluation des sous-critères s’effectue également à partir de calculs élaborés par le Forum, de chiffres issus d’instituts de statistiques nationaux… Chacune des sources utilisées pour construire les indicateurs sont précisées dans le rapport annuel The Global Competitiveness Index. En 2020, une édition spéciale du rapport est publiée, dans laquelle les classements comparatifs des pays ont été interrompus en raison de la pandémie mondiale du Covid-19, qui constitue une période de turbulences pour l'économie mondiale. Toutes les valeurs brutes obtenues pour chaque indicateur sont converties en un score allant de 0 à 100, où 100 représente le score idéal. Une fois toutes les données rééchelonnées sur 100, il est possible de faire le calcul de l’indicateur Global Competitiveness. Ainsi, pour chaque pays, ce score est obtenu en calculant la moyenne des 12 piliers de the Global Competitiveness : Institutions (i); Infrastructure (ii); Adoption des technologies de la communication (iii); Stabilité macroéconomique (iv); Santé (v); Compétences (vi); Marché des produits (vii); Marché du travail (viii); Système financier (ix); Taille du marché (x); Dynamisme des affaires (xi) et Capacité d’innovation (xii). Le score de ces 12 piliers est obtenu en calculant la moyenne de leurs catégories respectives, correspondant à la moyenne des indicateurs de ces catégories.La compétitivité nationaleÉconomiede 0 à 100https://www.weforum.org/reports/the-global-competitiveness-report-2020/Doing Business (WB), Business regulatory environment rating (CPIA), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF), Financial Freedom (HF), Foundations for Economic Opportunity (IIAG)Environmental Performance Index (en collaboration avec l’université de Yale et l’université de Colombia)
Freedom in the World (FH)Freedom House est une ONG américaine fondée en 1941 qui soutient et défend la démocratie à travers le monde. Son principal objectif consiste à protéger les démocraties en place et les droits de l'homme. L’ONG déploie également des moyens pour protéger les victimes des régimes autoritaires et finance les militants qui se soulèvent face à la dictature de leur pays. Depuis 1973, Freedom House publie le rapport Freedom in the World chaque année qui mesure l’évolution des droits politiques et des libertés civiles dans 195 pays. C’est à partir de 2013 que des scores sont disponibles annuellement pour chaque pays. Mondiale2013 à 2024Pour chaque pays, Freedom in the World analyse le processus électoral (i), le pluralisme et la participation politique (ii), le fonctionnement du gouvernement (iii), la liberté d'expression et de croyance (iv), les droits d'association et d'organisation (v), l'État de droit (vi), ainsi que l'autonomie personnelle et les droits individuels (vii). Des analystes experts attribuent des notes globales allant de 0 à 100 pour chaque pays en se basant sur des rapports, des recherches sur terrain, des consultations avec d’autres ONG et des contacts locaux. La fiche d’évaluation des pays est basé sur des réponses à des questions sur deux principaux thèmes : droits politiques comprenant 10 indicateurs répartis en 3 sous-catégories (i ; ii; iii) et libertés civiles comprenant 15 indicateurs répartis en 4 sous-catégories (iv; v; vi; vii). Chacun des 25 sous-indicateurs prennent la forme de réponses à des questions notées de 0 à 4 pour chaque pays. Une fois agrégés, ils constituent le score global du pays. Pour chaque pays, les scores obtenus des 25 sous-indicateurs sont additionnés pour donner un score total sur 100, 100 étant la meilleure note qu’un pays puisse obtenir. Le statut “libre”, ”partiellement libre” ou ”non libre” d’un pays ou d’un territoire dépend, à la fois, de son score obtenu en droits politiques (évalué sur 40) et en libertés civiles (évalué sur 60). Liberté civiles et droits politiquesAction publique de 0 à 100https://freedomhouse.org/report/freedom-world Democracy Index (Economist), Liberal Democracy Index (V-Dem), Political Participation (BF), Empowerment Rights Index OLD (CIRI), Empowerment Rights Index NEW (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Rule of Law (WGI), Rule of Law (WJP), Rule of Law (BF) et Security and Rule of Law (IIAG)Freedom on the Net (FH) et Freedom of the Press (FH)
Freedom of the Press (FH)Freedom House est une ONG américaine fondée en 1941 qui soutient et défend la démocratie à travers le monde. Son principal objectif consiste à protéger les démocraties en place et les droits de l'homme. L’ONG déploie également des moyens pour protéger les victimes des régimes autoritaires et finance les militants qui se soulèvent face à la dictature de leur pays. Mondiale1980 à 2017Depuis 1980, Freedom House évalue chaque année la liberté de la presse dans près de 200 pays et territoires. Les résultats de l’indicateur sont déterminés par un processus d'analyse et d'évaluation par une équipe d'experts et d'universitaires régionaux, afin d’apporter des jugements cohérents et impartiaux. Ce sont plus de 90 analystes qui contribuent à ce système de notation en rédigeant les rapports nationaux et en attribuant des scores pour chaque pays. Ils recueillent des informations à partir de recherches sur le terrain, de contacts professionnels, de rapports d'organisations non gouvernementales (ONG) locales et internationales, de rapports de gouvernements et d'organismes multilatéraux, ainsi que des médias nationaux et internationaux. Les scores attribués sont ensuite individuellement examinés lors de réunions régionales impliquant des analystes, des conseillers universitaires et le personnel de Freedom House. Ils font ensuite l’objet d'évaluations interrégionales visant à assurer la comparabilité et la cohérence des résultats.L’indicateur évalue le niveau de liberté de la presse dans chaque pays au travers de 23 questions méthodologiques divisées en trois grandes catégories : (i) l'environnement juridique, (ii) l'environnement politique et (iii) l'environnement économique. Pour chaque question, un nombre de points est attribué par pays. Plus le nombre de points distribués est faible, plus le pays se trouve dans une situation libre. Tandis qu'un nombre de points plus élevé correspond à une situation moins libre. Le score final obtenu par un pays équivaut au total des points qui lui ont été attribués à chaque question, il est compris entre 0 (le meilleur) et 100 (le pire). Ainsi, un score final de 0 à 30 signifie que le statut de liberté de la presse est “libre”; un score de 31 à 60 révèle un statut de “partiellement libre”; et un score de 61 à 100 indique un statut “non libre”.Liberté de la presseDémocratiede 0 à 100https://freedomhouse.org/freedom-press-research-methodologyWorld Press Freedom index (RSF)Freedom on the Net (FH) et Freedom in the World (FH)
World Press Freedom index (RSF)Reporters sans frontières (RSF) est une organisation internationale à but non lucratif fondée en 1985 à Montpellier. Régie par des principes de gouvernance démocratique, elle est dotée d’un statut consultatif auprès de l'Organisation des Nations unies, de l’Unesco, du Conseil de l’Europe et de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). RSF défend pour chaque être humain, le droit d’accéder à une information libre et fiable. Elle agit pour la liberté, le pluralisme et l’indépendance du journalisme en donnant des informations sur la situation de la liberté de la presse dans le monde. En plus d’être un producteur d’information, RSF entreprend des campagnes de mobilisation, formule des préconisations juridiques aux Etats et gouvernements du monde, protège et accompagne les journalistes en mission dans les zones considérées à risques. Mondiale2002 à 2024Chaque année depuis 2002, RSF établit un classement mondial de la liberté de la presse en évaluant l’état de la liberté de la presse dans près de 180 pays. RSF et son groupe d’experts définissent la liberté de la presse comme “la capacité des journalistes en tant qu'individus et collectifs à sélectionner, produire et diffuser des nouvelles dans l'intérêt public indépendamment de l'ingérence politique, économique, juridique et sociale et en l'absence de menaces pour leur sécurité physique et mentale.” L’indicateur se met à jour en fonction des nouvelles données récoltées sur le terrain par les journalistes en direct et constitue ainsi un aperçu de la situation au cours de l'année civile (janvier-décembre) précédant sa publication officielle. Lorsque la situation de la liberté de la presse change radicalement dans un pays entre la fin de l'année évaluée et sa publication finale, les données sont mises à jour pour tenir compte des événements les plus récents.En 2010, pour chaque pays ou territoire, l’indicateur rapporte un score allant de 0 à 100, où 100 correspond au plus faible niveau de liberté de la presse et 0 au meilleur. Depuis 2013, la règle est inversée : 100 représente le meilleur degré de liberté de la presse et 0 le pire. Pour les éditions allant de 2013 à 2021, le score était déterminé par la mise en commun de réponses d’experts à un questionnaire conçu par RSF. Cette analyse qualitative était ensuite combinée à des données quantitatives sur les abus et les actes de violence contre les journalistes au cours de la période évaluée. Les 87 questions étaient axées sur sept critères : (i) le pluralisme, (ii) l’indépendance des médias, (iii) l’environnement et l'autocensure, (iv) le cadre législatif, (v) la transparence, (vi) l’infrastructure et (vii) l’abus. Chacun des sept critères était noté de 0 à 100. RSF calculait ensuite deux scores finaux. Le premier (ScoA) était basé sur les six premiers critères et le second (ScoB) combinait les six premiers avec le septième (l’abus). Le choix du score final d'un pays correspondait au ScoA si la prise en compte de l’abus dans le second score ScoB ne présentait pas un résultat différent du premier. Sinon, en présence d’abus, RSF choisissait le score ScoB. Depuis 2022, ce questionnaire contient désormais cinq indicateurs contextuels : (i) le contexte politique, (ii) le cadre juridique, (iii) le contexte économique, (iv) le contexte socioculturel et (v) la sécurité. Un score subsidiaire allant de 0 à 100 est calculé pour chacun de ces indicateurs, où toutes les questions et sous-questions ont le même poids. Tous les scores subsidiaires sont ainsi regroupés de manière équivalente pour aboutir au score global.Liberté de la presse Démocratiede 0 à 100https://rsf.org/fr/classementFreedom of the Press (FH)
Private Property (BF)Bertelsmann Stiftung est une fondation indépendante de droit privé, basée à Gütersloh, en Allemagne. Elle a été fondée par Reinhard Mohn en 1977. La fondation est le porte-parole du changement social et souhaite avoir un impact durable, qui inspire les générations futures. La Fondation poursuit des objectifs essentiellement non lucratifs. Ceux-ci visent notamment à mettre en avant la recherche et à favoriser la compréhension des domaines de la religion, de la santé publique, de l’art et la culture, de l'éducation publique et de la formation professionnelle, du bien-être social, des échanges internationaux, de la démocratie et du gouvernement, et de l'engagement civique. Elle a pour objectif d’atteindre une société équitable, définie par des valeurs démocratiques, des conditions économiques stables et des considérations sociales. En tant que fondation privée, Bertelsmann Stiftung finance et soutient exclusivement des projets qu’elle conçoit et initie elle-même.Mondiale2006 à 2024Depuis 2006, l'indice de transformation BTI de la Bertelsmann Stiftung analyse et évalue, tous les deux ans, la façon dont les pays en développement instaurent le changement social vers la démocratie constitutionnelle et une économie de marché socialement responsable dans leur pays respectifs et vis-à-vis des autres pays du monde. La fondation cherche ainsi, à identifier et retenir les meilleures stratégies pour instaurer une démocratie et un système économique efficace. Pour ce faire, le BTI propose deux classements : l’indice de statut qui classe les pays selon l'état de leur démocratie et de leur économie de marché, et l'indice de gouvernance qui classe les pays en fonction de la performance de leurs dirigeants respectifs. L’indice de statut regroupe la transformation politique vers une démocratie en vertu de l'État de droit (i) et la transformation économique vers une économie de marché ancrée dans les principes de la justice sociale (ii) tandis que l’indice de gouvernance analyse la gestion politique de la transformation, ou de la qualité de la gouvernance (iii). L'évaluation de BTI est basée sur des rapports nationaux détaillés, qui sont le résultat d'un processus de collaboration impliquant près de 300 experts universitaires et de groupes de réflexion dans 137 pays. Ainsi, l’indice BTI est basé sur une enquête qualitative d’experts où les évaluations écrites sont traduites en notations numériques. Un livre de codes standardisé sert de base à ce processus d’enquête et fournit un cadre de référence aux experts lorsqu’ils répondent aux questions. Ainsi, pour chaque pays, le processus de notation contient une composante qualitative et une composante quantitative, qui sont chacune effectuées par un expert national et un expert étranger afin de garantir un certain degré d’objectivité. L’expert national rédige d’abord un rapport détaillé qui évalue l’indice de statut et l’indice de gouvernance sur la base d’un total de 17 critères subdivisés en 49 questions définies dans le livre de codes. Puis le second expert relit, commente et complète ce rapport national. Afin d’assurer la validité, la fiabilité et la comparabilité des évaluations, chaque note fait l'objet d'examen par les experts nationaux, les coordinateurs régionaux, l'équipe de projet et le conseil d'administration du BTI.L'indicateur Private Property est l’un des 7 critères de la catégorie “Transformation économique” (ii) de l’indice BTI. Private Property est obtenu en faisant la moyenne des deux sous-indicateurs : Droits de propriété (a) et Entreprise privée (b). Cette valeur varie de 0 à 10 pour chaque pays, où 10 correspond à un haut degré de protection de la propriété privée.La protection de la propriété privéeÉconomiede 0 à 10https://bti-project.org/Property rights and rule-based governance rating (CPIA) et Property Rights Index (HF)Democracy Status (BF), Stateness (BF), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF), Stability of Democratic Institutions (BF) et Rule of Law (BF)
Democracy Status (BF)Bertelsmann Stiftung est une fondation indépendante de droit privé, basée à Gütersloh, en Allemagne. Elle a été fondée par Reinhard Mohn en 1977. La fondation est le porte-parole du changement social et souhaite avoir un impact durable, qui inspire les générations futures. La Fondation poursuit des objectifs essentiellement non lucratifs. Ceux-ci visent notamment à mettre en avant la recherche et à favoriser la compréhension des domaines de la religion, de la santé publique, de l’art et la culture, de l'éducation publique et de la formation professionnelle, du bien-être social, des échanges internationaux, de la démocratie et du gouvernement, et de l'engagement civique. Elle a pour objectif d’atteindre une société équitable, définie par des valeurs démocratiques, des conditions économiques stables et des considérations sociales. En tant que fondation privée, Bertelsmann Stiftung finance et soutient exclusivement des projets qu’elle conçoit et initie elle-même.Mondiale2006 à 2024Depuis 2006, l'indice de transformation BTI de la Bertelsmann Stiftung analyse et évalue, tous les deux ans, la façon dont les pays en développement instaurent le changement social vers la démocratie constitutionnelle et une économie de marché socialement responsable dans leur pays respectifs et vis-à-vis des autres pays du monde. La fondation cherche ainsi, à identifier et retenir les meilleures stratégies pour instaurer une démocratie et un système économique efficace. Pour ce faire, le BTI propose deux classements : l’indice de statut qui classe les pays selon l'état de leur démocratie et de leur économie de marché, et l'indice de gouvernance qui classe les pays en fonction de la performance de leurs dirigeants respectifs. L’indice de statut regroupe la transformation politique vers une démocratie en vertu de l'État de droit (i) et la transformation économique vers une économie de marché ancrée dans les principes de la justice sociale (ii) tandis que l’indice de gouvernance analyse la gestion politique de la transformation, ou de la qualité de la gouvernance (iii). L'évaluation de BTI est basée sur des rapports nationaux détaillés, qui sont le résultat d'un processus de collaboration impliquant près de 300 experts universitaires et de groupes de réflexion dans 137 pays. Ainsi, l’indice BTI est basé sur une enquête qualitative d’experts où les évaluations écrites sont traduites en notations numériques. Un livre de codes standardisé sert de base à ce processus d’enquête et fournit un cadre de référence aux experts lorsqu’ils répondent aux questions. Ainsi, pour chaque pays, le processus de notation contient une composante qualitative et une composante quantitative, qui sont chacune effectuées par un expert national et un expert étranger afin de garantir un certain degré d’objectivité. L’expert national rédige d’abord un rapport détaillé qui évalue l’indice de statut et l’indice de gouvernance sur la base d’un total de 17 critères subdivisés en 49 questions définies dans le livre de codes. Puis le second expert relit, commente et complète ce rapport national. Afin d’assurer la validité, la fiabilité et la comparabilité des évaluations, chaque note fait l'objet d'examen par les experts nationaux, les coordinateurs régionaux, l'équipe de projet et le conseil d'administration du BTI.L'indicateur Democracy Status correspond à la catégorie “Transformation politique” (i) de l’indice BTI. Celle-ci est mesurée en fonction des critères suivants : État (a), Participation politique (b), État de droit (c), Stabilité des institutions démocratiques (d) et Intégration politique et sociale (e). La moyenne de ces cinq critères forme la valeur de l’indicateur Democracy Status. Cette valeur varie de 0 à 10 pour chaque pays, où 10 correspond à un haut degré de démocratie.Le degré de démocratieDémocratiede 0 à 10https://bti-project.org/Democracy Index (Economist), Deliberative Democracy Index (V-Dem), Electoral Democracy Index (V-Dem), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem) et Participatory Democracy Index (V-Dem)Private Property (BF), Stateness (BF), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF), Stability of Democratic Institutions (BF) et Rule of Law (BF)
Stateness (BF)Bertelsmann Stiftung est une fondation indépendante de droit privé, basée à Gütersloh, en Allemagne. Elle a été fondée par Reinhard Mohn en 1977. La fondation est le porte-parole du changement social et souhaite avoir un impact durable, qui inspire les générations futures. La Fondation poursuit des objectifs essentiellement non lucratifs. Ceux-ci visent notamment à mettre en avant la recherche et à favoriser la compréhension des domaines de la religion, de la santé publique, de l’art et la culture, de l'éducation publique et de la formation professionnelle, du bien-être social, des échanges internationaux, de la démocratie et du gouvernement, et de l'engagement civique. Elle a pour objectif d’atteindre une société équitable, définie par des valeurs démocratiques, des conditions économiques stables et des considérations sociales. En tant que fondation privée, Bertelsmann Stiftung finance et soutient exclusivement des projets qu’elle conçoit et initie elle-même.Mondiale2006 à 2024Depuis 2006, l'indice de transformation BTI de la Bertelsmann Stiftung analyse et évalue, tous les deux ans, la façon dont les pays en développement instaurent le changement social vers la démocratie constitutionnelle et une économie de marché socialement responsable dans leur pays respectifs et vis-à-vis des autres pays du monde. La fondation cherche ainsi, à identifier et retenir les meilleures stratégies pour instaurer une démocratie et un système économique efficace. Pour ce faire, le BTI propose deux classements : l’indice de statut qui classe les pays selon l'état de leur démocratie et de leur économie de marché, et l'indice de gouvernance qui classe les pays en fonction de la performance de leurs dirigeants respectifs. L’indice de statut regroupe la transformation politique vers une démocratie en vertu de l'État de droit (i) et la transformation économique vers une économie de marché ancrée dans les principes de la justice sociale (ii) tandis que l’indice de gouvernance analyse la gestion politique de la transformation, ou de la qualité de la gouvernance (iii). L'évaluation de BTI est basée sur des rapports nationaux détaillés, qui sont le résultat d'un processus de collaboration impliquant près de 300 experts universitaires et de groupes de réflexion dans 137 pays. Ainsi, l’indice BTI est basé sur une enquête qualitative d’experts où les évaluations écrites sont traduites en notations numériques. Un livre de codes standardisé sert de base à ce processus d’enquête et fournit un cadre de référence aux experts lorsqu’ils répondent aux questions. Ainsi, pour chaque pays, le processus de notation contient une composante qualitative et une composante quantitative, qui sont chacune effectuées par un expert national et un expert étranger afin de garantir un certain degré d’objectivité. L’expert national rédige d’abord un rapport détaillé qui évalue l’indice de statut et l’indice de gouvernance sur la base d’un total de 17 critères subdivisés en 49 questions définies dans le livre de codes. Puis le second expert relit, commente et complète ce rapport national. Afin d’assurer la validité, la fiabilité et la comparabilité des évaluations, chaque note fait l'objet d'examen par les experts nationaux, les coordinateurs régionaux, l'équipe de projet et le conseil d'administration du BTI.L'indicateur Democracy Status correspond à la catégorie “Transformation politique” (i) de l’indice BTI. Celle-ci est mesurée en fonction des critères suivants : État (a), Participation politique (b), État de droit (c), Stabilité des institutions démocratiques (d) et Intégration politique et sociale. La moyenne de ces cinq critères forme la valeur de l’indicateur Democracy Status. Cette valeur varie de 0 à 10 pour chaque pays, où 10 correspond à un haut degré de démocratie.La qualité du fonctionnement de l’ÉtatAction publiquede 0 à 10https://bti-project.org/Private Property (BF), Democracy Status (BF), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF), Stability of Democratic Institutions (BF) et Rule of Law (BF)
Political Participation (BF)Bertelsmann Stiftung est une fondation indépendante de droit privé, basée à Gütersloh, en Allemagne. Elle a été fondée par Reinhard Mohn en 1977. La fondation est le porte-parole du changement social et souhaite avoir un impact durable, qui inspire les générations futures. La Fondation poursuit des objectifs essentiellement non lucratifs. Ceux-ci visent notamment à mettre en avant la recherche et à favoriser la compréhension des domaines de la religion, de la santé publique, de l’art et la culture, de l'éducation publique et de la formation professionnelle, du bien-être social, des échanges internationaux, de la démocratie et du gouvernement, et de l'engagement civique. Elle a pour objectif d’atteindre une société équitable, définie par des valeurs démocratiques, des conditions économiques stables et des considérations sociales. En tant que fondation privée, Bertelsmann Stiftung finance et soutient exclusivement des projets qu’elle conçoit et initie elle-même.Mondiale2006 à 2024Depuis 2006, l'indice de transformation BTI de la Bertelsmann Stiftung analyse et évalue, tous les deux ans, la façon dont les pays en développement instaurent le changement social vers la démocratie constitutionnelle et une économie de marché socialement responsable dans leur pays respectifs et vis-à-vis des autres pays du monde. La fondation cherche ainsi, à identifier et retenir les meilleures stratégies pour instaurer une démocratie et un système économique efficace. Pour ce faire, le BTI propose deux classements : l’indice de statut qui classe les pays selon l'état de leur démocratie et de leur économie de marché, et l'indice de gouvernance qui classe les pays en fonction de la performance de leurs dirigeants respectifs. L’indice de statut regroupe la transformation politique vers une démocratie en vertu de l'État de droit (i) et la transformation économique vers une économie de marché ancrée dans les principes de la justice sociale (ii) tandis que l’indice de gouvernance analyse la gestion politique de la transformation, ou de la qualité de la gouvernance (iii). L'évaluation de BTI est basée sur des rapports nationaux détaillés, qui sont le résultat d'un processus de collaboration impliquant près de 300 experts universitaires et de groupes de réflexion dans 137 pays. Ainsi, l’indice BTI est basé sur une enquête qualitative d’experts où les évaluations écrites sont traduites en notations numériques. Un livre de codes standardisé sert de base à ce processus d’enquête et fournit un cadre de référence aux experts lorsqu’ils répondent aux questions. Ainsi, pour chaque pays, le processus de notation contient une composante qualitative et une composante quantitative, qui sont chacune effectuées par un expert national et un expert étranger afin de garantir un certain degré d’objectivité. L’expert national rédige d’abord un rapport détaillé qui évalue l’indice de statut et l’indice de gouvernance sur la base d’un total de 17 critères subdivisés en 49 questions définies dans le livre de codes. Puis le second expert relit, commente et complète ce rapport national. Afin d’assurer la validité, la fiabilité et la comparabilité des évaluations, chaque note fait l'objet d'examen par les experts nationaux, les coordinateurs régionaux, l'équipe de projet et le conseil d'administration du BTI.L'indicateur Political Participation est l’un des 5 critères de la catégorie “Transformation politique” (i) de l’indice BTI et donc un des sous-indicateurs de Democracy Status. L’indicateur Political Participation est obtenu en faisant la moyenne des quatre sous-indicateurs : Élections libres et équitables (a), Pouvoir effectif de gouverner (b), Droits d’association/de réunion (c) et Liberté d’expression (d). Cette valeur varie de 0 à 10 pour chaque pays, où 10 signifie que les citoyens influencent les décisions prises par le gouvernement et qu’ils disposent de libertés politiques.La participation des citoyens à la vie politiqueDémocratiede 0 à 10https://bti-project.org/Voice and Accountability (WGI) et Women’s Political Rights (CIRI)Private Property (BF), Democracy Status (BF), Stateness (BF), Political and Social Integration (BF), Stability of Democratic Institutions (BF) et Rule of Law (BF)
Political and Social Integration (BF)Bertelsmann Stiftung est une fondation indépendante de droit privé, basée à Gütersloh, en Allemagne. Elle a été fondée par Reinhard Mohn en 1977. La fondation est le porte-parole du changement social et souhaite avoir un impact durable, qui inspire les générations futures. La Fondation poursuit des objectifs essentiellement non lucratifs. Ceux-ci visent notamment à mettre en avant la recherche et à favoriser la compréhension des domaines de la religion, de la santé publique, de l’art et la culture, de l'éducation publique et de la formation professionnelle, du bien-être social, des échanges internationaux, de la démocratie et du gouvernement, et de l'engagement civique. Elle a pour objectif d’atteindre une société équitable, définie par des valeurs démocratiques, des conditions économiques stables et des considérations sociales. En tant que fondation privée, Bertelsmann Stiftung finance et soutient exclusivement des projets qu’elle conçoit et initie elle-même.Mondiale2006 à 2024Depuis 2006, l'indice de transformation BTI de la Bertelsmann Stiftung analyse et évalue, tous les deux ans, la façon dont les pays en développement instaurent le changement social vers la démocratie constitutionnelle et une économie de marché socialement responsable dans leur pays respectifs et vis-à-vis des autres pays du monde. La fondation cherche ainsi, à identifier et retenir les meilleures stratégies pour instaurer une démocratie et un système économique efficace. Pour ce faire, le BTI propose deux classements : l’indice de statut qui classe les pays selon l'état de leur démocratie et de leur économie de marché, et l'indice de gouvernance qui classe les pays en fonction de la performance de leurs dirigeants respectifs. L’indice de statut regroupe la transformation politique vers une démocratie en vertu de l'État de droit (i) et la transformation économique vers une économie de marché ancrée dans les principes de la justice sociale (ii) tandis que l’indice de gouvernance analyse la gestion politique de la transformation, ou de la qualité de la gouvernance (iii). L'évaluation de BTI est basée sur des rapports nationaux détaillés, qui sont le résultat d'un processus de collaboration impliquant près de 300 experts universitaires et de groupes de réflexion dans 137 pays. Ainsi, l’indice BTI est basé sur une enquête qualitative d’experts où les évaluations écrites sont traduites en notations numériques. Un livre de codes standardisé sert de base à ce processus d’enquête et fournit un cadre de référence aux experts lorsqu’ils répondent aux questions. Ainsi, pour chaque pays, le processus de notation contient une composante qualitative et une composante quantitative, qui sont chacune effectuées par un expert national et un expert étranger afin de garantir un certain degré d’objectivité. L’expert national rédige d’abord un rapport détaillé qui évalue l’indice de statut et l’indice de gouvernance sur la base d’un total de 17 critères subdivisés en 49 questions définies dans le livre de codes. Puis le second expert relit, commente et complète ce rapport national. Afin d’assurer la validité, la fiabilité et la comparabilité des évaluations, chaque note fait l'objet d'examen par les experts nationaux, les coordinateurs régionaux, l'équipe de projet et le conseil d'administration du BTI.L'indicateur Political and Social Integration est l’un des 5 critères de la catégorie “Transformation politique” (i) de l’indice BTI et donc un des sous-indicateurs de Democracy Status. L’indicateur Political and Social Integration est obtenu en faisant la moyenne des quatre sous-indicateurs : Système de partis (a), Groupes d'intérêt (b), Approbation de la démocratie (c) et Capital social (d). Cette valeur varie de 0 à 10 pour chaque pays, où 10 signifie que les modèles de représentations sont stables et qu’ils permettent la médiation entre la société et l’État.Le niveau d'intégration sociale et politique Démocratiede 0 à 10https://bti-project.org/Private Property (BF), Democracy Status (BF), Stateness (BF), Political Participation (BF), Stability of Democratic Institutions (BF) et Rule of Law (BF)
Stability of Democratic Institutions (BF)Bertelsmann Stiftung est une fondation indépendante de droit privé, basée à Gütersloh, en Allemagne. Elle a été fondée par Reinhard Mohn en 1977. La fondation est le porte-parole du changement social et souhaite avoir un impact durable, qui inspire les générations futures. La Fondation poursuit des objectifs essentiellement non lucratifs. Ceux-ci visent notamment à mettre en avant la recherche et à favoriser la compréhension des domaines de la religion, de la santé publique, de l’art et la culture, de l'éducation publique et de la formation professionnelle, du bien-être social, des échanges internationaux, de la démocratie et du gouvernement, et de l'engagement civique. Elle a pour objectif d’atteindre une société équitable, définie par des valeurs démocratiques, des conditions économiques stables et des considérations sociales. En tant que fondation privée, Bertelsmann Stiftung finance et soutient exclusivement des projets qu’elle conçoit et initie elle-même.Mondiale2006 à 2024Depuis 2006, l'indice de transformation BTI de la Bertelsmann Stiftung analyse et évalue, tous les deux ans, la façon dont les pays en développement instaurent le changement social vers la démocratie constitutionnelle et une économie de marché socialement responsable dans leur pays respectifs et vis-à-vis des autres pays du monde. La fondation cherche ainsi, à identifier et retenir les meilleures stratégies pour instaurer une démocratie et un système économique efficace. Pour ce faire, le BTI propose deux classements : l’indice de statut qui classe les pays selon l'état de leur démocratie et de leur économie de marché, et l'indice de gouvernance qui classe les pays en fonction de la performance de leurs dirigeants respectifs. L’indice de statut regroupe la transformation politique vers une démocratie en vertu de l'État de droit (i) et la transformation économique vers une économie de marché ancrée dans les principes de la justice sociale (ii) tandis que l’indice de gouvernance analyse la gestion politique de la transformation, ou de la qualité de la gouvernance (iii). L'évaluation de BTI est basée sur des rapports nationaux détaillés, qui sont le résultat d'un processus de collaboration impliquant près de 300 experts universitaires et de groupes de réflexion dans 137 pays. Ainsi, l’indice BTI est basé sur une enquête qualitative d’experts où les évaluations écrites sont traduites en notations numériques. Un livre de codes standardisé sert de base à ce processus d’enquête et fournit un cadre de référence aux experts lorsqu’ils répondent aux questions. Ainsi, pour chaque pays, le processus de notation contient une composante qualitative et une composante quantitative, qui sont chacune effectuées par un expert national et un expert étranger afin de garantir un certain degré d’objectivité. L’expert national rédige d’abord un rapport détaillé qui évalue l’indice de statut et l’indice de gouvernance sur la base d’un total de 17 critères subdivisés en 49 questions définies dans le livre de codes. Puis le second expert relit, commente et complète ce rapport national. Afin d’assurer la validité, la fiabilité et la comparabilité des évaluations, chaque note fait l'objet d'examen par les experts nationaux, les coordinateurs régionaux, l'équipe de projet et le conseil d'administration du BTI.L'indicateur Stability of Democratic Institutions est l’un des 5 critères de la catégorie “Transformation politique” (i) de l’indice BTI et donc un des sous-indicateurs de Democracy Status. L’indicateur Stability of Democratic Institutions est obtenu en faisant la moyenne des deux sous-indicateurs : Performance des institutions démocratiques (a) et Engagement des institutions démocratiques (b). Cette valeur varie de 0 à 10 pour chaque pays, où 10 signifie que les institutions démocratiques fonctionnent de manière efficace et qu’elles sont acceptées.La stabilité des institutions démocratiquesDémocratiede 0 à 10https://bti-project.org/Democracy Index (Economist), Deliberative Democracy Index (V-Dem), Electoral Democracy Index (V-Dem), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem) et Participatory Democracy Index (V-Dem)Private Property (BF), Democracy Status (BF), Stateness (BF), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF) et Rule of Law (BF)
Rule of Law (BF)Bertelsmann Stiftung est une fondation indépendante de droit privé, basée à Gütersloh, en Allemagne. Elle a été fondée par Reinhard Mohn en 1977. La fondation est le porte-parole du changement social et souhaite avoir un impact durable, qui inspire les générations futures. La Fondation poursuit des objectifs essentiellement non lucratifs. Ceux-ci visent notamment à mettre en avant la recherche et à favoriser la compréhension des domaines de la religion, de la santé publique, de l’art et la culture, de l'éducation publique et de la formation professionnelle, du bien-être social, des échanges internationaux, de la démocratie et du gouvernement, et de l'engagement civique. Elle a pour objectif d’atteindre une société équitable, définie par des valeurs démocratiques, des conditions économiques stables et des considérations sociales. En tant que fondation privée, Bertelsmann Stiftung finance et soutient exclusivement des projets qu’elle conçoit et initie elle-même.Mondiale2006 à 2024Depuis 2006, l'indice de transformation BTI de la Bertelsmann Stiftung analyse et évalue, tous les deux ans, la façon dont les pays en développement instaurent le changement social vers la démocratie constitutionnelle et une économie de marché socialement responsable dans leur pays respectifs et vis-à-vis des autres pays du monde. La fondation cherche ainsi, à identifier et retenir les meilleures stratégies pour instaurer une démocratie et un système économique efficace. Pour ce faire, le BTI propose deux classements : l’indice de statut qui classe les pays selon l'état de leur démocratie et de leur économie de marché, et l'indice de gouvernance qui classe les pays en fonction de la performance de leurs dirigeants respectifs. L’indice de statut regroupe la transformation politique vers une démocratie en vertu de l'État de droit (i) et la transformation économique vers une économie de marché ancrée dans les principes de la justice sociale (ii) tandis que l’indice de gouvernance analyse la gestion politique de la transformation, ou de la qualité de la gouvernance (iii). L'évaluation de BTI est basée sur des rapports nationaux détaillés, qui sont le résultat d'un processus de collaboration impliquant près de 300 experts universitaires et de groupes de réflexion dans 137 pays. Ainsi, l’indice BTI est basé sur une enquête qualitative d’experts où les évaluations écrites sont traduites en notations numériques. Un livre de codes standardisé sert de base à ce processus d’enquête et fournit un cadre de référence aux experts lorsqu’ils répondent aux questions. Ainsi, pour chaque pays, le processus de notation contient une composante qualitative et une composante quantitative, qui sont chacune effectuées par un expert national et un expert étranger afin de garantir un certain degré d’objectivité. L’expert national rédige d’abord un rapport détaillé qui évalue l’indice de statut et l’indice de gouvernance sur la base d’un total de 17 critères subdivisés en 49 questions définies dans le livre de codes. Puis le second expert relit, commente et complète ce rapport national. Afin d’assurer la validité, la fiabilité et la comparabilité des évaluations, chaque note fait l'objet d'examen par les experts nationaux, les coordinateurs régionaux, l'équipe de projet et le conseil d'administration du BTI.L'indicateur Rule of Law est l’un des 5 critères de la catégorie “Transformation politique” (i) de l’indice BTI et donc un des sous-indicateurs de Democracy Status. L’indicateur Rule of Law est obtenu en faisant la moyenne des quatre sous-indicateurs : Séparation des pouvoirs (a), Indépendance du pouvoir judiciaire (b), Poursuite des abus de pouvoir (c) et Droits civils (d). Cette valeur varie de 0 à 10 pour chaque pays, où 10 signifie que les pouvoirs étatiques s'équilibrent et qu’ils garantissent les droits civils.Le respect de l’État de droitAction publique de 0 à 10https://bti-project.org/Rule of Law (WGI), Rule of Law (WJP), Global rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC) et Security and Rule of Law (IIAG)Private Property (BF), Democracy Status (BF), Stateness (BF), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF) et Stability of Democratic Institutions (BF)
Democracy Index (Economist)L’Economist Intelligence Unit (EIU) est la filiale du grand groupe journalistique The Economist. Dédiée à la recherche et à l’analyse, cette firme britannique a été créée en 1946 et, est spécialisée dans la production d’informations sur le commerce international et les affaires mondiales. Ainsi, elle délivre des conseils aux entreprises, aux gouvernements et sociétés financières, publie des études économiques et politiques utiles aux organisations académiques et transmet des données. EIU effectue des prévisions économiques et politiques détaillées sur plus de 200 pays dans le monde, ce qui permet aux différents acteurs de pouvoir observer et anticiper les tendances de marchés à venir. Mondiale2006 à 2023L’indice de démocratie est lancé en 2006 et fait état de la situation démocratique dans 165 Etats et deux territoires chaque année. L’objectif étant d’observer si la démocratie régresse de manière globale dans le monde. Pour ce faire, des experts évaluent la situation de chaque pays à l’aide d’un questionnaire de référence. Pour l’attribution des notes, les analystes se basent également sur des sondages d’opinion publique et des sondages Gallup, des enquêtes de la World Values Survey, des enquêtes de l’Eurobaromètre, du baromètre Asiatique, du baromètre Latino-américain et du baromètre Africain. Les experts répondent à un questionnaire comprenant 60 questions réparties dans les cinq grandes catégories suivantes : Processus électoral et pluralisme (i), Libertés civiles (ii), Fonctionnement du gouvernement (iii), Participation politique (iv) et Culture politique (v). Chaque catégorie est notée sur 10. Le score final des pays correspond à la moyenne des 5 notes précédemment obtenues dans les 5 catégories et se rapporte donc à une note comprise entre 0 et 10, où 10 signifie que la démocratie totale est atteinte (“Full democracy”). Selon leur score, les pays sont ensuite regroupés selon 4 catégories possibles : une note inférieure ou égale à 4 correspond à des pays à régimes autoritaires (Authoritarian regimes); une notre supérieure à 4 et inférieure à 6 correspond à des pays à régimes hybrides (Hybrid regimes); une note supérieure à 6 et inférieure ou égale à 8 correspond à des pays à régimes démocratiques imparfaits (Flawed democracies) et une note supérieure à 8 correspond à des pays à régimes démocratiques totaux (Full democracies).Analyse de l’état de la démocratie Démocratie de 0 à 10https://www.eiu.com/n/campaigns/democracy-index-2023/ Deliberative Democracy Index (V-Dem), Electoral Democracy Index (V-Dem), Participatory Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem), Democracy Status (BF), Political Participation (BF), Stability of Democratic Institutions (BF), Government Effectiveness (WGI), Control of Corruption (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA), Electoral Self-Determination (CIRI), Government Integrity (HF)
Global rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC)La Chambre de commerce des Etats-Unis est un groupe de pression américain qui existe depuis 1912. En tant que plus grande organisation de commerce au monde, elle a pour objectif de favoriser la croissance économique en aidant les entreprises américaines à se développer et à s’insérer dans le contexte macro-économique mondial actuel. La Chambre de commerce est considérée comme le réseau de lobbying le plus puissant des Etats-Unis avec la représentation des 100 plus grosses multinationales américaines. Ainsi, elle sert d’informateur à ses membres en prodiguant des conseils juridiques et des analyses politiques. Elle défend les firmes et joue le rôle d’intermédiaire entre les gouvernants et les dirigeants d’entreprises. Mondiale 2013 à 2021Depuis 2013, la Chambre de commerce publie, tous les deux ans, le tableau de bord mondial de l’Etat de droit et des entreprises. L’objectif de l’indicateur est de “fournir aux décideurs politiques les outils analytiques nécessaires pour comprendre l'état de l'État de droit dans les contextes mondiaux et régionaux, et ainsi leur permettre de mener à bien les réformes qui jettent les bases d'une plus grande prospérité”. En 2021, l’indicateur recense 113 marchés dans le monde. La Chambre de commerce cherche à démontrer l’interdépendance existante entre un Etat de droit puissant et le développement d’une économie prospère. Le Global rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC) est créé selon une compilation de différentes mesures produites par 7 indicateurs déjà existants : Global Competitiveness Index (i), Global Corruption Barometer (ii), Doing Business (iii), Rule of Law du World Justice Project (iv), Economic Freedom de la Heritage Foundation (v), Businesses Experience de la World Bank’s Enterprise Surveys (vi) et les indicateurs Worldwide Governance de la Banque mondiale (vii). La Chambre de commerce s’appuie sur les forces méthodologiques de ces indicateurs tout en corrigeant certaines faiblesses pour parvenir à une présentation optimale de l’état de l’Etat de droit dans les différentes économies mondiales. Des chercheurs veillent à comprendre la méthodologie statistique de chacun des 7 indicateurs utilisés en se basant sur le remplissage d’un questionnaire qui comprend des interrogations telles que le nombre de pays référencés par chaque indicateur, le type de notation utilisé ou encore les objectifs politiques ou économiques des indicateurs. Evolution de l’état de l’Etat de droit Économiede 0 à 100https://www.uschamber.com/international/the-global-rule-of-law-and-business-dashboard-2021Rule of Law (WGI), Government Effectiveness (WGI), Doing Business (WB), Rule of Law (WJP), Global competitiveness index (WE forum), Rule of Law (BF), Business regulatory environment rating (CPIA), Business Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF), Financial Freedom (HF)International IP index
Financial Secrecy Index (FSI, TJN)La Tax Justice Network (réseau pour la justice fiscale) est une organisation non gouvernementale britannique créée en 2002 par Prem Nath Sikka et officialisée par le Parlement britannique en 2003. Elle a pour principale mission de réduire le secret financier et les paradis fiscaux au niveau mondial car ils accroissent les inégalités de revenu des populations en donnant plus de poids aux géants du secteur privé et favorisent la corruption qui porte atteinte aux systèmes démocratiques. Ainsi, l’organisation entend “réparer ces injustices en inspirant et en équipant les citoyens et gouvernements pour reprogrammer leurs systèmes fiscaux et financiers” afin de construire une société fiscalement juste. Elle fournit des recherches et des analyses mondiales sur les abus fiscaux et les réponses nécessaires, par le biais d'une plateforme de communication puissante et d'un plaidoyer international. Depuis sa création, l'indice de secret financier développé par la fondation jouit donc d'une grande visibilité médiatique internationale et a été largement adoptée à des fins pratiques (de la Banque centrale italienne à l'indice de Bâle sur le blanchiment d'argent, en passant par un certain nombre d'agences de notation du secteur privé), et de plus en plus dans la recherche universitaire. Il oriente les débats politiques entre les médias et les groupes d'intérêt public en encourageant et en surveillant les changements politiques au niveau mondial en faveur d'une plus grande transparence financière. Mondiale2009 à 2022 L’indice de secret financier est publié tous les deux ans depuis 2009 et mesure la façon dont les juridictions facilitent les flux financiers illicites en évaluant la contribution de chacune au secret financier mondial de manière à identifier les systèmes juridiques qui contribuent le plus au secret financier. En 2022, l’indice est construit selon la récolte d’informations sur les structures juridiques, administratives, réglementaires et financières de 141 juridictions à travers le monde. Les principales sources de données sont les rapports officiels et publics de l'OCDE et de son Forum mondial associé, du Groupe d'action financière (GAFI), du FMI et de l'UE. Des bases de données et des sites Web spécialisés dans la fiscalité, tels que ceux de l'International Bureau of Fiscal Documentation, des « Big Four » des cabinets comptables et d'autres, ont été consultés. Des données ont également été obtenues, si nécessaire, par le biais de recherches d'investigation originales et d'analyses juridiques. L’indice de secret financier est obtenu en évaluant 2 composantes : le score de confidentialité et le poids de l’échelle mondiale. Le score de confidentialité mesure la marge de manœuvre dont disposent les systèmes financiers et juridiques de chaque pays en matière de secret financier. Il est composé de 20 sous-indicateurs répartis selon les 4 grands thèmes suivants : Enregistrement de la propriété (i); Transparence de l’entité juridique (ii); Intégrité de la réglementation fiscale et financière (iii) et Normes et coopération internationales (iv). Sur la base des sources tierces utilisées, l’organisation constitue ses propres questionnaires et grilles d’évaluations pour noter les 20 sous-indicateurs qui forment le score de confidentialité. Le poids de l’échelle mondiale évalue la part de chaque juridiction dans le marché mondial des services financiers fournis aux clients non-résidents. Le calcul du poids s’effectue sur les statistiques de la balance des paiements du FMI. Le score de confidentialité est obtenu par la mesure de 20 sous-indicateurs répartis dans les 4 grands thèmes. Ils sont chacun mesurés sur une échelle de 0 à 100 et notés individuellement selon leur propre grille d’évaluation où les experts attribuent des points en fonction de la situation qui correspond à chaque pays. Un score de 0 signifie une absence de possibilité de secret financier (totale transparence) tandis qu’un score de 100 correspond à une possibilité illimitée de secret financier. Le score de confidentialité, (noté sur 100) est obtenu en calculant pour chaque pays, la moyenne des notes obtenues dans les 4 grands thèmes, qui correspond à la moyenne des notes obtenues pour chacun de leurs sous-indicateurs. Pour calculer le poids de l’échelle mondiale, les experts calculent, à l’aide de méthodes économétriques avancées, pour chaque juridiction, la part de ses exportations de services financiers dans le total mondial. Cela permet de créer un poids global obtenu en pourcentage qui reflète l'importance relative de chaque juridiction. Le score de confidentialité et l’indice de pondération à échelle mondiale sont combinés selon une formule mathématique multiplicative qui permet d’obtenir le score final où un score élevé signifie qu’un pays est un grand fournisseur de secret financier mondial.Le secret financier Économiede 0 à 1951https://fsi.taxjustice.net Global competitiveness index (WE forum), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Property rights and rule-based governance rating (CPIA)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Afrique subsaharienne2005 à 2022La Country Policy and Institutional Assessment, qui évalue dans les pays d’Afrique Subsaharienne, les dispositions et politiques prises par le cadre institutionnel concernant la mise en oeuvre d’une croissance durable et la réduction de la pauvreté, a été développée durant les années 1970 par la Banque mondiale. En juin 2006, la Banque mondiale a publié pour la première fois les notes des évaluations politiques et des institutions nationales CPIA. Les évaluations CPIA servent également à déterminer les pays éligibles au financement de l’Association internationale de développement (IDA). L’IDA est l’institution de la Banque mondiale chargée d’aider les pays les plus pauvres du monde en leur fournissant des prêts concessionnels, des subventions ou des dons pour que ces derniers développent des programmes visant à stimuler leur croissance économique et à améliorer les conditions de vie de leur population. La CPIA mesure la performance d’un pays pour une année donnée, tandis que les résultats des pays éligibles à l’IDA sont publiés en juin de l’année suivante. Les équipes nationales, les chefs économistes et des experts des Pratiques Mondiales de la Banque mondiale s’occupent des notations de chaque pays. Leurs évaluations sont basées sur des études diagnostiques qui s’appuient sur la lecture de rapports économiques, d’évaluations des dépenses publiques et de mesure de la pauvreté. Les autorités du pays sont consultées en amont afin de s'assurer que les appréciations reposent sur des informations actualisées. Ainsi, les notes sont le reflet de nombreuses observations basées sur la connaissance du pays et sur les indicateurs disponibles publiquement.La CPIA est destinée à mesurer la qualité des politiques et des cadres institutionnels nationaux en mettant l’accent sur les éléments clés qui sont sous le contrôle des pays. “Les notes représentent la capacité à utiliser efficacement l’aide au développement”. La CPIA évalue les pays sur un ensemble de 16 critères regroupés en quatre catégories : la gestion économique (i), les politiques structurelles (ii), les politiques d'inclusion sociale et d'équité (iii) et la gestion et les institutions du secteur public (iv). Pour chacun des critères, le personnel de la Banque mondiale évalue la performance du pays et attribue une note allant de 1 (faible) à 6 (élevé). Les 16 critères ont le même poids, et chaque catégorie a un poids de 25 % dans le score global d’un pays, c’est-à-dire que le score CPIA est obtenu en faisant la moyenne des notes obtenues dans les quatre catégories. L’indicateur Property rights and rule-based governance rating est l’un des cinq critères de la catégorie “Gestion et institutions du secteur public” (iv) de la CPIA. Il évalue la mesure dans laquelle l'activité économique privée est facilitée par un système juridique efficace et une structure de gouvernance basée sur des règles où les droits de propriété et les droits contractuels sont respectés et appliqués de manière fiable.La qualité des droits de propriété et de la gouvernance Démocratiede 1 à 6https://data.worldbank.org/indicator/IQ.CPA.PROP.XQPrivate Property (BF) et Property Rights Index (HF)Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Business regulatory environment rating (CPIA)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Afrique subsaharienne2005 à 2022La Country Policy and Institutional Assessment, qui évalue dans les pays d’Afrique Subsaharienne, les dispositions et politiques prises par le cadre institutionnel concernant la mise en oeuvre d’une croissance durable et la réduction de la pauvreté, a été développée durant les années 1970 par la Banque mondiale. En juin 2006, la Banque mondiale a publié pour la première fois les notes des évaluations politiques et des institutions nationales CPIA. Les évaluations CPIA servent également à déterminer les pays éligibles au financement de l’Association internationale de développement (IDA). L’IDA est l’institution de la Banque mondiale chargée d’aider les pays les plus pauvres du monde en leur fournissant des prêts concessionnels, des subventions ou des dons pour que ces derniers développent des programmes visant à stimuler leur croissance économique et à améliorer les conditions de vie de leur population. La CPIA mesure la performance d’un pays pour une année donnée, tandis que les résultats des pays éligibles à l’IDA sont publiés en juin de l’année suivante. Les équipes nationales, les chefs économistes et des experts des Pratiques Mondiales de la Banque mondiale s’occupent des notations de chaque pays. Leurs évaluations sont basées sur des études diagnostiques qui s’appuient sur la lecture de rapports économiques, d’évaluations des dépenses publiques et de mesure de la pauvreté. Les autorités du pays sont consultées en amont afin de s'assurer que les appréciations reposent sur des informations actualisées. Ainsi, les notes sont le reflet de nombreuses observations basées sur la connaissance du pays et sur les indicateurs disponibles publiquement.La CPIA est destinée à mesurer la qualité des politiques et des cadres institutionnels nationaux en mettant l’accent sur les éléments clés qui sont sous le contrôle des pays. “Les notes représentent la capacité à utiliser efficacement l’aide au développement”. La CPIA évalue les pays sur un ensemble de 16 critères regroupés en quatre catégories : la gestion économique (i), les politiques structurelles (ii), les politiques d'inclusion sociale et d'équité (iii) et la gestion et les institutions du secteur public (iv). Pour chacun des critères, le personnel de la Banque mondiale évalue la performance du pays et attribue une note allant de 1 (faible) à 6 (élevé). Les 16 critères ont le même poids, et chaque catégorie a un poids de 25 % dans le score global d’un pays, c’est-à-dire que le score CPIA est obtenu en faisant la moyenne des notes obtenues dans les quatre catégories. L’indicateur Business regulatory environment rating est l’un des trois critères de la catégorie “Politiques structurelles” (ii) de la CPIA. Il évalue la mesure dans laquelle l’environnement juridique, réglementaire et de politique aide ou non les entreprises privées à investir, à créer des emplois et à devenir plus productives.La qualité de l'environnement réglementaire des entreprisesÉconomiede 1 à 6https://data.worldbank.org/indicator/IQ.CPA.BREG.XQRegulatory Quality (WGI), Doing Business (WB) et Business Freedom (HF)Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Public sector management and institutions cluster average (CPIA)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Afrique subsaharienne2005 à 2022La Country Policy and Institutional Assessment, qui évalue dans les pays d’Afrique Subsaharienne, les dispositions et politiques prises par le cadre institutionnel concernant la mise en oeuvre d’une croissance durable et la réduction de la pauvreté, a été développée durant les années 1970 par la Banque mondiale. En juin 2006, la Banque mondiale a publié pour la première fois les notes des évaluations politiques et des institutions nationales CPIA. Les évaluations CPIA servent également à déterminer les pays éligibles au financement de l’Association internationale de développement (IDA). L’IDA est l’institution de la Banque mondiale chargée d’aider les pays les plus pauvres du monde en leur fournissant des prêts concessionnels, des subventions ou des dons pour que ces derniers développent des programmes visant à stimuler leur croissance économique et à améliorer les conditions de vie de leur population. La CPIA mesure la performance d’un pays pour une année donnée, tandis que les résultats des pays éligibles à l’IDA sont publiés en juin de l’année suivante. Les équipes nationales, les chefs économistes et des experts des Pratiques Mondiales de la Banque mondiale s’occupent des notations de chaque pays. Leurs évaluations sont basées sur des études diagnostiques qui s’appuient sur la lecture de rapports économiques, d’évaluations des dépenses publiques et de mesure de la pauvreté. Les autorités du pays sont consultées en amont afin de s'assurer que les appréciations reposent sur des informations actualisées. Ainsi, les notes sont le reflet de nombreuses observations basées sur la connaissance du pays et sur les indicateurs disponibles publiquement.La CPIA est destinée à mesurer la qualité des politiques et des cadres institutionnels nationaux en mettant l’accent sur les éléments clés qui sont sous le contrôle des pays. “Les notes représentent la capacité à utiliser efficacement l’aide au développement”. La CPIA évalue les pays sur un ensemble de 16 critères regroupés en quatre catégories : la gestion économique (i), les politiques structurelles (ii), les politiques d'inclusion sociale et d'équité (iii) et la gestion et les institutions du secteur public (iv). Pour chacun des critères, le personnel de la Banque mondiale évalue la performance du pays et attribue une note allant de 1 (faible) à 6 (élevé). Les 16 critères ont le même poids, et chaque catégorie a un poids de 25 % dans le score global d’un pays, c’est-à-dire que le score CPIA est obtenu en faisant la moyenne des notes obtenues dans les quatre catégories. L’indicateur Public sector management and institutions cluster average correspond à la catégorie “Gestion et institutions du secteur public” (iv) de la CPIA. Il est obtenu en faisant la moyenne des cinq critères suivants : Property rights and rule-based governance; Quality of budgetary and financial management; Efficiency of revenue mobilisation; Quality of public administration et Transparency, accountability and corruption in the public sector.La qualité de la gestion et des institutions du secteur publicAction publiquede 1 à 6https://data.worldbank.org/indicator/IQ.CPA.PUBS.XQStability of Democratic Institutions (BF) Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Social protection rating (CPIA)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Afrique subsaharienne2005 à 2022La Country Policy and Institutional Assessment, qui évalue dans les pays d’Afrique Subsaharienne, les dispositions et politiques prises par le cadre institutionnel concernant la mise en oeuvre d’une croissance durable et la réduction de la pauvreté, a été développée durant les années 1970 par la Banque mondiale. En juin 2006, la Banque mondiale a publié pour la première fois les notes des évaluations politiques et des institutions nationales CPIA. Les évaluations CPIA servent également à déterminer les pays éligibles au financement de l’Association internationale de développement (IDA). L’IDA est l’institution de la Banque mondiale chargée d’aider les pays les plus pauvres du monde en leur fournissant des prêts concessionnels, des subventions ou des dons pour que ces derniers développent des programmes visant à stimuler leur croissance économique et à améliorer les conditions de vie de leur population. La CPIA mesure la performance d’un pays pour une année donnée, tandis que les résultats des pays éligibles à l’IDA sont publiés en juin de l’année suivante. Les équipes nationales, les chefs économistes et des experts des Pratiques Mondiales de la Banque mondiale s’occupent des notations de chaque pays. Leurs évaluations sont basées sur des études diagnostiques qui s’appuient sur la lecture de rapports économiques, d’évaluations des dépenses publiques et de mesure de la pauvreté. Les autorités du pays sont consultées en amont afin de s'assurer que les appréciations reposent sur des informations actualisées. Ainsi, les notes sont le reflet de nombreuses observations basées sur la connaissance du pays et sur les indicateurs disponibles publiquement.La CPIA est destinée à mesurer la qualité des politiques et des cadres institutionnels nationaux en mettant l’accent sur les éléments clés qui sont sous le contrôle des pays. “Les notes représentent la capacité à utiliser efficacement l’aide au développement”. La CPIA évalue les pays sur un ensemble de 16 critères regroupés en quatre catégories : la gestion économique (i), les politiques structurelles (ii), les politiques d'inclusion sociale et d'équité (iii) et la gestion et les institutions du secteur public (iv). Pour chacun des critères, le personnel de la Banque mondiale évalue la performance du pays et attribue une note allant de 1 (faible) à 6 (élevé). Les 16 critères ont le même poids, et chaque catégorie a un poids de 25 % dans le score global d’un pays, c’est-à-dire que le score CPIA est obtenu en faisant la moyenne des notes obtenues dans les quatre catégories. L’indicateur Social protection rating est l’un des cinq critères de la catégorie “Politiques d'inclusion sociale et d'équité” (iii) de la CPIA. Il évalue les politiques qui favorisent la prévention du risque par le biais de l’assurance sociale, la protection contre le dénuement grâce à des programmes basés sur la redistribution, la promotion du développement du capital humain et de la génération de revenu, ainsi que des programmes relatifs au marché du travail.La qualité de la protection sociale et de la main d'œuvre Action publiquede 1 à 6https://data.worldbank.org/indicator/IQ.CPA.PROT.XQWomen’s Social Rights (CIRI) et Political and Social Integration (BF)Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)
Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Afrique subsaharienne2005 à 2022La Country Policy and Institutional Assessment, qui évalue dans les pays d’Afrique Subsaharienne, les dispositions et politiques prises par le cadre institutionnel concernant la mise en oeuvre d’une croissance durable et la réduction de la pauvreté, a été développée durant les années 1970 par la Banque mondiale. En juin 2006, la Banque mondiale a publié pour la première fois les notes des évaluations politiques et des institutions nationales CPIA. Les évaluations CPIA servent également à déterminer les pays éligibles au financement de l’Association internationale de développement (IDA). L’IDA est l’institution de la Banque mondiale chargée d’aider les pays les plus pauvres du monde en leur fournissant des prêts concessionnels, des subventions ou des dons pour que ces derniers développent des programmes visant à stimuler leur croissance économique et à améliorer les conditions de vie de leur population. La CPIA mesure la performance d’un pays pour une année donnée, tandis que les résultats des pays éligibles à l’IDA sont publiés en juin de l’année suivante. Les équipes nationales, les chefs économistes et des experts des Pratiques Mondiales de la Banque mondiale s’occupent des notations de chaque pays. Leurs évaluations sont basées sur des études diagnostiques qui s’appuient sur la lecture de rapports économiques, d’évaluations des dépenses publiques et de mesure de la pauvreté. Les autorités du pays sont consultées en amont afin de s'assurer que les appréciations reposent sur des informations actualisées. Ainsi, les notes sont le reflet de nombreuses observations basées sur la connaissance du pays et sur les indicateurs disponibles publiquement.La CPIA est destinée à mesurer la qualité des politiques et des cadres institutionnels nationaux en mettant l’accent sur les éléments clés qui sont sous le contrôle des pays. “Les notes représentent la capacité à utiliser efficacement l’aide au développement”. La CPIA évalue les pays sur un ensemble de 16 critères regroupés en quatre catégories : la gestion économique (i), les politiques structurelles (ii), les politiques d'inclusion sociale et d'équité (iii) et la gestion et les institutions du secteur public (iv). Pour chacun des critères, le personnel de la Banque mondiale évalue la performance du pays et attribue une note allant de 1 (faible) à 6 (élevé). Les 16 critères ont le même poids, et chaque catégorie a un poids de 25 % dans le score global d’un pays, c’est-à-dire que le score CPIA est obtenu en faisant la moyenne des notes obtenues dans les quatre catégories. L’indicateur Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating est l’un des cinq critères de la catégorie “Gestion et institutions du secteur public” (iv) de la CPIA. Il évalue la mesure dans laquelle le pouvoir exécutif, les députés et d’autres hauts responsables peuvent être tenus de rendre compte de leur utilisation des fonds, des décisions administratives et des résultats obtenus.La transparence, la responsabilité et la corruption dans le secteur publicAction publiquede 1 à 6https://data.worldbank.org/indicator/IQ.CPA.TRAN.XQCorruption Perception Index (TI) et Control of Corruption (WGI) Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), et Social protection rating (CPIA)
Physical Integrity Rights Index (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. Physical Integrity Rights Index est un indice additif construit à partir des 4 indicateurs (sur les 15 répértoriés) de droits de l’homme suivants : Torture, Exécution extrajudiciaire, Emprisonnement politique et Disparitions. Il varie de 0 (aucun respect de ces quatre droits par le gouvernement) à 8 (respect total de ces quatre droits par le gouvernement). Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, pour chacun des 4 indicateurs, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Par exemple, pour la torture, l’indicateur mesure pour chaque pays, la torture pratiquée qui est soit fréquemment au cours d'une année donnée (0), soit occasionnellement (1) ou absente (2).Droit à l’intégrité physique Droits fondamentauxde 0 à 8http://www.humanrightsdata.com/ Control of Corruption (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA), Political Participation (BF), Stability of Democratic Institutions (BF), Government Integrity (HF), Liberal Democracy Index (V-Dem), Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Empowerment Rights Index OLD (CIRI), Empowerment Rights Index NEW (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Empowerment Rights Index OLD (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2006L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. Empowerment Rights Index OLD est un indice additif construit à partir de 5 indicateurs (sur les 15 répertoriés) de droits de l’homme suivants : liberté de mouvement, liberté d’expression, droits des travailleurs, participation politique et liberté de religion. Il varie de 0 (aucun respect de ces cinq droits par le gouvernement) à 10 (respect total de ces cinq droits par le gouvernement). Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, pour chacun des 5 indicateurs, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Par exemple, pour la liberté de religion, l’indicateur mesure pour chaque pays, les restrictions gouvernementales sur les pratiques religieuses qui sont soit graves et généralisées (0) soit modérées (1) ou pratiquement absentes (2). A partir de la codification 2007, l’Empowerment Rights Index OLD a été retirée au profit de l’indice Empowerment Rights Index NEW, qui regroupe 7 indicateurs et qui est évalué sur 14. Droit à l'autonomisationDroits fondamentauxde 0 à 10http://www.humanrightsdata.com/ Voice and Accountability (WGI), Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH), Freedom of the Press (FH), World Press Freedom index (RSF), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Political Participation (BF), Labor Freedom (HF), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_High Income), Deliberative Democracy Index (V-Dem), Electoral Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem), Participatory Democracy Index (V-Dem) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index NEW (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Empowerment Rights Index NEW (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. Empowerment Rights Index NEW est un indice additif construit à partir de 7 indicateurs (sur les 15 répertoriés) de droits de l’homme suivants : liberté de circulation intérieure, liberté de circulation des étrangers, liberté d’expression, liberté de réunion et d’association, droits des travailleurs, autodétermination électorale et liberté de religion. Il varie de 0 (aucun respect de ces sept droits par le gouvernement) à 14 (respect total du gouvernement pour ces 7 droits). Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, pour chacun des 7 indicateurs, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Par exemple, pour la liberté de religion, l’indicateur mesure pour chaque pays, les restrictions gouvernementales sur les pratiques religieuses qui sont soit graves et généralisées (0) soit modérées (1) ou pratiquement absentes (2). Droit à l'autonomisationDroits fondamentauxde 0 à 14http://www.humanrightsdata.com/ Voice and Accountability (WGI), Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF), Labor Freedom (HF), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_High Income), Liberal Democracy Index (V-Dem) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Freedom of Assembly and Association (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L'indicateur Freedom of Assembly and Association est un droit internationalement reconnu permettant aux citoyens de se réunir librement et de s’associer avec d’autres personnes dans des partis politiques, des syndicats, des organisations culturelles ou d’autres groupes d’intérêt. Cette variable indique dans quelle mesure les libertés de réunion et d’association font l’objet de limitations ou de restrictions gouvernementales réelles (par opposition aux protections strictement légales). Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour la liberté de réunion et d’association, un score de 0 indique que les droits des citoyens à la liberté de réunion ou d’association sont sévèrement restreints ou complètement refusés à tous les citoyens; un score de 1 indique que ces droits sont limités pour tous les citoyens ou sévèrement restreints ou refusés pour certains groupes; et un score de 2 indique que ces droits sont pratiquement illimités et exercés librement par la quasi-totalité des citoyens au cours d’une année donnée.Liberté de réunion et d'associationDroits fondamentauxde 0 à 2http://www.humanrightsdata.com/ Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Freedom of Foreign Movement (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L'indicateur Freedom of Foreign Movement indique la liberté des citoyens de quitter leur pays et d’y revenir. Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour la liberté de circulation des étrangers, un score de 0 indique que les déplacements et les voyages à l’étranger sont sévèrement restreints, un score de 1 indique qu’ils sont relativement restreints et un score de 2 indique que la liberté de mouvement à l’étranger n’est pas restreinte.Liberté de circulation des étrangersDroits fondamentauxde 0 à 2http://www.humanrightsdata.com/ Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH), Democracy Index (Economist), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem), Overall Governance (IIAG) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Freedom of Domestic Movement (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L’indicateur Freedom of Domestic Movement indique la liberté des citoyens de voyager à l’intérieur de leur propre pays. Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour la liberté de circulation intérieure, un score de 0 indique que les voyages intérieurs sont sévèrement restreints, un score de 1 indique qu’ils sont assez restreints et un score de 2 indique qu'un citoyen peut circuler sans restrictions dans son pays.Liberté de circulation intérieureDroits fondamentauxde 0 à 2http://www.humanrightsdata.com/ Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH), Democracy Index (Economist), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem), Overall Governance (IIAG) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Speech (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Freedom of Speech (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L’indicateur Freedom of Speech indique dans quelle mesure les libertés d’expression et de presse sont affectées par la censure gouvernementale, y compris la propriété des médias. La censure correspond à toute forme de restriction imposée à la liberté de la presse, de la parole ou de l’expression. Elle prive les citoyens de la liberté d'expression et limite ou empêche les médias d'exprimer des opinions qui remettent en cause les politiques du gouvernement en place. Dans de nombreux cas, le gouvernement possède et gère toutes les formes de presse et de médias. Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour la liberté d’expression et de la presse, un score de 0 indique que la censure gouvernementale des médias était totale, un score de 1 indique une censure partielle des médias par le gouvernement et un score de 2 indique qu’il n’y a aucune censure gouvernementale des médias au cours d’une année donnée.Liberté d’expression et de la presse Droits fondamentauxde 0 à 2http://www.humanrightsdata.com/ Voice and Accountability (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Freedom in the World (FH), Freedom of the Press (FH), World Press Freedom index (RSF), Democracy Index (Economist), Overall Governance (IIAG) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Electoral Self-Determination (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L’indicateur Electoral Self-Determination mesure le droit des citoyens à déterminer librement leur propre système politique et leurs dirigeants. La jouissance de ce droit à l’autodétermination signifie que les citoyens ont le droit légal et la capacité pratique de changer les lois et les fonctionnaires qui les gouvernent par le biais d'élections périodiques, libres et équitables, organisées au suffrage universel. Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour l’autodétermination électorale, un score de 0 indique le droit des citoyens de changer de gouvernement par le biais d’élections libres et équitables n’est pas respecté, un score de 1 indique qu’il est limité c’est-à-dire que les élections sont modérément libres et équitables et un score de 2 indique que le droit à l’autodétermination est généralement respecté (élections très libres et équitables) au cours d’une année donnée. Lorsqu’il n’y a pas eu d’élections au cours de l’année, les experts notent le droit à l’autodétermination selon l’élection la plus récente. Autodétermination électoraleDroits fondamentauxde 0 à 2http://www.humanrightsdata.com/ Voice and Accountability (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Political Participation (BF), Stability of Democratic Institutions (BF), Deliberative Democracy Index (V-Dem), Electoral Democracy Index (V-Dem), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem), Participatory Democracy Index (V-Dem), Overall Governance (IIAG), Participation, Rights, and Inclusion (IIAG) et Public Perception of Overall Governance (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI),Freedom of Speech and Press (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Worker’s Rights (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L’indicateur Worker’s Rights mesure le droit des travailleurs de s’associer librement sur leur lieu de travail et le droit de négocier collectivement avec leurs employeurs. Pour mesurer le droit des travailleurs, les experts se réfèrent au Système Généralisé des Préférences de l’Organisation Mondiale du Commerce qui exige que les droits des travailleurs internationalement reconnus comprennent le droit d'association, le droit de s'organiser et de négocier collectivement, l'interdiction de recourir à toute forme de travail forcé ou obligatoire, un âge minimum pour l'emploi des enfants et des conditions de travail acceptables en ce qui concerne le salaire minimum, les heures de travail, la sécurité et la santé au travail. Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0 soit de 1 soit de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour le droit des travailleurs, un score de 0 indique que ce droit est sévèrement restreint, un score de 1 indique qu'il est quelque peu restreint et un score de 2 indique que les travailleurs sont totalement protégés. Droit des travailleurs Droits fondamentauxde 0 à 2http://www.humanrightsdata.com/ Voice and Accountability (WGI), Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Social protection rating (CPIA), Labor Freedom (HF) , Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_High Income), Participatory Democracy Index (V-Dem), Overall Governance (IIAG), Participation, Rights, and Inclusion (IIAG), Human Development (IIAG) et Public Perception of Overall Governance (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech and Press (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Women’s Economic Rights (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L’indicateur du droit économique des femmes se base sur les droits suivants reconnus au niveau international : Un salaire égal pour un travail égal; libre choix de la profession ou de l'emploi sans avoir à obtenir le consentement du mari ou d'un parent de sexe masculin; le droit à un emploi rémunéré sans qu'il soit nécessaire d'obtenir le consentement d'un mari ou d'un parent de sexe masculin; l'égalité dans les pratiques d'embauche et de promotion; sécurité de l'emploi (congé de maternité, allocations de chômage, pas de licenciements arbitraires…); non-discrimination par les employeurs; le droit de ne pas être victime de harcèlement sexuel sur le lieu de travail; le droit de travailler de nuit; le droit de travailler dans des professions classées comme dangereuses et le droit de travailler dans l'armée et la police. Les experts cherchent à mesurer l’étendue des lois relatives aux droits économiques des femmes et les pratiques du gouvernement à l’égard des femmes. Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0, de 1, de 2 ou de 3 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour le droit économique des femmes, un score de 0 indique qu’il n’y a aucun droit économique prévu pour les femmes, qu’une éventuelle discrimination fondée sur le sexe peut être intégrée dans la loi et que le gouvernement tolère un niveau élevé de discrimination envers les femmes. Un score de 1 indique que le gouvernement prévoit certains droits économiques pour les femmes mais qu’en pratique ces lois ne sont pas appliquées efficacement. Le gouvernement accepte un niveau modéré de discrimination à l’égard des femmes. Un score de 2 signifie que certains droits économiques sont prévus par la loi et qu’ils sont effectivement appliqués mais, qu’il existe encore un faible niveau de discrimination envers les femmes. Un score de 3 indique que la quasi-totalité des droits économiques sont garantis par la loi et qu’ils sont appliqués efficacement. Le gouvernement ne tolère presque aucune discrimination à l’égard des femmes. Droit économique des femmes Droits fondamentauxde 0 à 3http://www.humanrightsdata.com/ Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH), Social protection rating (CPIA), Labor Freedom (HF) , Business Freedom (HF), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_High Income), Overall Governance (IIAG), Participation, Rights, and Inclusion (IIAG), Foundations for Economic Opportunity (IIAG), Human Development (IIAG) et Women, Business and the Law 1.0 (WB)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech and Press (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Women’s Political Rights (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L’indicateur des droits politiques des femmes se base sur les droits suivants reconnus au niveau international : le droit de vote; le droit de se présenter à des fonctions politiques; le droit d'occuper des postes gouvernementaux élus ou nommés; le droit d'adhérer à des partis politiques et le droit d'adresser des pétitions aux représentants du gouvernement. Les experts cherchent à mesurer l’étendue des lois relatives aux droits politiques des femmes et les pratiques du gouvernement à l’égard des femmes. Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0, de 1, de 2 ou de 3 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour les droits politiques des femmes, un score de 0 indique qu’il n’y a aucun droit politique prévu pour les femmes et qu’il existe des lois qui restreignent complètement leurs participations politiques. Un score de 1 indique une égalité politique entre hommes et femmes mais, en pratique, il existe des limitations significatives. De plus, les femmes occupent moins de 5% des sièges au sein du corps législatif national et à d'autres postes gouvernementaux de haut niveau. Un score de 2 signifie que l’égalité politique est garantie par la loi mais les femmes occupent moins de 30% des sièges au sein du corps législatif national et à d'autres postes gouvernementaux de haut niveau. Enfin, un score de 3 indique que l’égalité politique est garantie par la loi et dans la pratique. Les femmes occupent plus de 30% des sièges au sein du corps législatif national et à d'autres postes gouvernementaux de haut niveau.Droits politiques des femmesDroits fondamentauxde 0 à 3http://www.humanrightsdata.com/ Voice and Accountability (WGI), Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Political Participation (BF), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem), Overall Governance (IIAG) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG) Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech and Press (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Social Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Women’s Social Rights (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. L’indicateur des droits sociaux des femmes se base sur les droits suivants reconnus au niveau international : le droit à l'égalité en matière d'héritage; le droit de contracter un mariage sur la base de l'égalité avec les hommes; le droit de voyager à l'étranger; le droit d'obtenir un passeport; le droit de conférer la citoyenneté à ses enfants ou à son mari; le droit de demander le divorce; le droit de posséder, d'acquérir, de gérer et de conserver les biens apportés par le mariage; le droit de participer à des activités sociales, culturelles et communautaires; le droit à l'éducation; la liberté de choisir une résidence/un domicile; le droit de ne pas subir de mutilations génitales féminines sur les enfants et les adultes sans leur consentement et le droit de ne pas être stérilisé de force. Les experts cherchent à mesurer l’étendue des lois relatives aux droits sociaux des femmes et les pratiques du gouvernement à l’égard des femmes.Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0, de 1, de 2 ou de 3 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour les droits sociaux des femmes, un score de 0 prouve qu’il n’y a aucun droit social prévu pour les femmes et qu’il existe des lois qui intègrent la discrimination systémique fondée sur le sexe. Le gouvernement tolère également un niveau élevé de discrimination envers les femmes. Un score de 1 indique que la loi prévoit certains droits sociaux pour les femmes mais, dans la pratique, le gouvernement n’applique pas ces lois de manière efficace. Le gouvernement tolère un niveau modéré de discrimination à l’égard des femmes. Un score de 2 signifie que la loi prévoit certains droits sociaux pour les femmes et que le gouvernement applique effectivement ces lois. Cependant, le gouvernement tolère encore un faible niveau de discrimination vis-à-vis des femmes. Enfin, un score de 3 indique que presque tous les droits sociaux des femmes sont garantis par la loi et que le gouvernement applique rigoureusement ces lois. Le gouvernement ne tolère aucun discrimination à l’égard des femmes.Droits sociaux des femmesDroits fondamentauxde 0 à 3http://www.humanrightsdata.com/ Government Effectiveness (WGI), Global Rights Index (CSI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Social protection rating (CPIA), Labor Freedom (HF), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Work (SERF_High Income), Right to Education (SERF_High Income), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem), Overall Governance (IIAG), Participation, Rights, and Inclusion (IIAG) et Human Development (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech and Press (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI) et Independence of the Judiciary (CIRI)
Independence of the Judiciary (CIRI)Le projet de données sur les droits de l’homme CIRI a été créé en 1994 par les chercheurs en sciences politiques David Cingranelli (Université de Binghamton), David L. Richards (Université du Connecticut) et K. Chad Clay (Université de Géorgie). Le projet CIRI est une organisation non gouvernementale américaine à destination d’un public universitaire, de groupes de réflexion, d’entreprises privées et surtout des gouvernements. L’objectif principal est d’encourager les pays à adopter des politiques respectueuses des droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme des Nations-Unies. “Les politiques d'un pays en matière de droits de l'homme sont ce qu'un gouvernement déclare vouloir faire pour assurer la protection des droits de l'homme de ses citoyens. En d'autres termes, les pratiques sont ce que les gouvernements font réellement, et non ce qu'ils prétendent faire ou les conséquences qui découlent de ce qu'ils font”. Mondiale1981 à 2011L’indicateur CIRI mesure, pour chaque année disponible, l’ensemble des pratiques et actions mises en place par les différents gouvernements du monde afin de respecter les droits de l’homme dans leur pays respectif selon la Déclaration Universelle de l’ONU. Il couvre un ensemble de 202 pays et notifie plus de 15 pratiques distinctes en matière de droits de l’homme : Exécutions politiques et autres exécutions extrajudiciaires (arbitraires ou illégales de la vie) (i); Disparition (ii); Torture (iii); Emprisonnement politique (iv); Liberté d’expression et de la presse (v); Liberté de religion (vi); Liberté de circulation intérieure (vii); Liberté de circulation des étrangers (viii); Liberté d'assemblée et d'association (ix); Autodétermination électorale (x); Droits des travailleurs (xi); Droits politiques des femmes (xii); Droits économiques des femmes (xiii); Un pouvoir judiciaire indépendant (xiv) et Droits sociaux des femmes (xv). Afin d’obtenir des évaluations comparables et normalisées pour chaque pays, les chercheurs se basent sur une source particulière : le rapport annuel du département d'État américain sur les pratiques en matière de droits de l'homme (Country Report on Human Rights Practices). Les experts utilisent également le rapport annuel d’Amnesty International pour mesurer l’indice des droits à l’intégrité physique. Independence of the Judiciary évalue dans quelle mesure le pouvoir judiciaire est indépendant du contrôle exercé par d'autres sources, telles qu'une autre branche du gouvernement ou l'armée. Les experts, dans leurs évaluations, prennent en considération les questions suivantes : Les juges sont-ils à l'abri d'une destitution par d'autres représentants du gouvernement ? Les actions des autres branches du gouvernement peuvent-elles être contestées devant les tribunaux ? Les audiences sont-elles publiques ? Les fonctionnaires judiciaires sont-ils généralement à l'abri de la corruption et de l'intimidation ? L'issue des affaires est-elle protégée de toute ingérence gouvernementale ?Les indicateurs CIRI sont ordinaux, ce qui signifie qu'ils donnent des informations en termes de fréquence (plus ou moins) et non des chiffres exacts. Ainsi, un pays obtient soit la note de 0, de 1, ou de 2 en fonction de la répétition de la pratique évaluée. Pour l’indépendance du pouvoir judiciaire, un score de 0 signifie que le pouvoir judiciaire est dépendant du gouvernement ou autre source de contrôle externe, un score de 1 indique qu’il est partiellement indépendant du gouvernement ou autre institution et un score de 2 signifie que le pouvoir judiciaire est généralement indépendant de tout contrôle externe. Indépendance du pouvoir judiciaire Action publiquede 0 à 2http://www.humanrightsdata.com/ Rule of Law (WGI), Control of Corruption (WGI), Rule of Law (WJP), Rule of Law (BF), Judicial Effectiveness (HF) et Security and Rule of Law (IIAG)Physical Integrity Rights Index (CIRI), Empowerment Rights Index Old (CIRI), Empowerment Rights Index New (CIRI), Freedom of Assembly and Association (CIRI), Freedom of Foreign Movement (CIRI), Freedom of Domestic Movement (CIRI), Freedom of Speech and Press (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Worker’s Rights (CIRI), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI) et Women’s Social Rights (CIRI)
Property Rights Index (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale1995 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Property Rights est l’un des 3 critères de la catégorie “État de droit” (i), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. L’indicateur Property Rights est obtenu en faisant la moyenne de 3 sous-facteurs : Risque d'expropriation (a) Respect des droits de propriété intellectuelle (b) et Qualité de l'application des contrats, des droits de propriété et de l'application de la loi (c). Le score Property Rights d’un pays varie de 0 à 100 pour chaque pays, où 100 correspond à une protection juridique de la propriété privée efficace.La qualité de la protection des droits de propriétéÉconomiede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyPrivate Property (BF) et Property rights and rule-based governance rating (CPIA)Judicial Effectiveness (HF), Government Integrity (HF), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Judicial Effectiveness (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale2017 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Judicial Effectiveness est l’un des 3 critères de la catégorie “État de droit” (i), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. L’indicateur Judicial Effectiveness est obtenu en faisant la moyenne de 3 sous-facteurs, pondérés de manière égale et dont les scores sont compris entre 0 et 100 : Indépendance judiciaire (a), Qualité de la procédure judiciaire (b) et Perceptions de la qualité des services publics et de l'indépendance de la fonction publique (c). Le score Judicial Effectiveness d’un pays varie de 0 à 100 pour chaque pays, 100 correspondant à un système judiciaire efficace et équitable dans lequel les lois sont pleinement respectées et où des mesures juridiques légales appropriées sont prises contre les violations.Efficacité des systèmes judiciairesAction publiquede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyGovernment Effectiveness (WGI)Property Rights (HF), Government Integrity (HF), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Government Integrity (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale 1995 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Government Integrity est l’un des 3 critères de la catégorie “État de droit” (i), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. L’indicateur Government Integrity est obtenu en faisant la moyenne de 3 sous-facteurs, pondérés de manière égale et dont les scores sont compris entre 0 et 100 : Perceptions de la corruption (a), Risque de corruption (b) et Contrôle de la corruption, y compris la “capture” de l’État par les élites et les intérêts privés (c). Le score Government Integrity d’un pays varie de 0 à 100 pour chaque pays, où 0 correspond à une situation dans laquelle les institutions gouvernementales pratiquent la corruption, à travers l’extorsion, le favoritisme ou encore le détournement de fonds.Intégrité du gouvernementDémocratiede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyCorruption Perception Index (TI) et Control of Corruption (WGI)Property Rights (HF), Judicial Effectiveness (HF), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Business Freedom (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale1995 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Business Freedom est l’un des 3 critères de la catégorie “Efficacité réglementaire” (iii), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. L’indicateur Business Freedom est obtenu en faisant la moyenne de 4 sous-facteurs, pondérés de manière égale et dont les scores sont compris entre 0 et 100 : Accès à l’électricité (a), Risque pour l’environnement commercial (b), Qualité réglementaire (c) et L’inclusion économique des femmes (d). Le score Business Freedom d’un pays varie de 0 à 100 pour chaque pays, où 100 correspond à l'environnement commercial le plus libre.La liberté d’entrepriseÉconomiede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyDoing Business (WB), Global rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC) et Business regulatory environment rating (CPIA)Property Rights (HF), Judicial Effectiveness (HF), Government Integrity (HF), Business Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Labor Freedom (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale2005 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Labor Freedom est l’un des 3 critères de la catégorie “Efficacité réglementaire” (iii), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. L’indicateur Labor Freedom est obtenu en faisant la moyenne de 9 sous-facteurs, pondérés de manière égale : Salaire minimum (a), Droit d’association (b), Congé annuel payé (c), Délai de préavis en cas de licenciement (d), Indemnité de licenciement (e), Productivité du travail (f), Taux d’activité (g), Restrictions sur les heures supplémentaires (h) et Licenciement autorisé par la loi (i). Les scores des sept premiers sous-facteurs sont compris entre 0 et 100. Pour le sous-facteur (h), la note de 100 est attribuée à un pays dont la valeur est Non, et 0 à un pays dont la valeur est Oui. À l’inverse, pour le facteur (i), 100 est attribué à un pays dont la valeur est Oui, et 0 à un pays dont la valeur est Non. L’indicateur Judicial Labor Freedom évalue le degré de liberté dont jouissent les travailleurs. Le score d’un pays varie de 0 à 100 pour chaque pays, où 100 correspond à un haut degré de liberté et donc à un marché du travail efficace.Liberté au travailÉconomiede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyWorker’s Rights (CIRI), Right to Work (SERF_Low and Middle Income) et Right to Work (SERF_High Income)Property Rights (HF), Judicial Effectiveness (HF), Government Integrity (HF), Business Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Monetary Freedom (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale1995 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Monetary Freedom est l’un des 3 critères de la catégorie “Efficacité réglementaire” (iii), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. L’indicateur Monetary Freedom est construit à partir de 2 sous-facteurs : Le taux d’inflation moyen pondéré pour les trois dernières années (a) et Un jugement qualitatif sur l’ampleur de la manipulation gouvernementale des prix par le biais de contrôles directs ou de subventions (b). Le score Monetary Freedom d’un pays varie de 0 à 100 pour chaque pays, où 100 correspond à une situation dans laquelle la stabilité des prix se fait sans intervention microéconomique, c’est l’état idéal pour le marché libre.La liberté monétaireÉconomiede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyProperty Rights (HF), Judicial Effectiveness (HF), Government Integrity (HF), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Trade Freedom (HF), Investment Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Trade Freedom (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale1995 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Trade Freedom est l’un des 3 critères de la catégorie “Marché ouverts” (iii), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. L’indicateur Trade Freedom est construit à partir de 2 sous-facteurs : Le taux tarifaire moyen pondéré en fonction du commerce (a) et Une évaluation qualitative des barrières non tarifaires (b). Le score Trade Freedom d’un pays varie de 0 à 100 pour chaque pays, où 0 correspond à une situation dans laquelle les obstacles tarifaires et non tarifaires affectent les importations et les exportations de biens et de services.La liberté du commerceÉconomiede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyProperty Rights (HF), Judicial Effectiveness (HF), Government Integrity (HF), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Investment Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Investment Freedom (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale1995 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Investment Freedom est l’un des 3 critères de la catégorie “Efficacité réglementaire” (iii), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. Pour construire l’indicateur Investment Freedom, des points sont déduits du score idéal de 100, qui correspond à une situation dans laquelle il n’y aurait aucune contrainte sur le flux de capitaux d’investissement, et où les individus et les entreprises pourraient déplacer leurs ressources vers et hors d'activités spécifiques, à la fois à l'intérieur et au-delà des frontières du pays, sans restrictions. Le nombre de points déduits est déterminé par l’évaluation de 7 restrictions : Traitement national de l’investissement étranger (jusqu’à 45 points), Code des investissements étrangers (jusqu’à 35 points), Restrictions sur la propriété foncière (jusqu’à 30 points), Restrictions sectorielles en matière d’investissement (jusqu’à 35 points), Expropriation d’investissements sans compensation équitable (jusqu’à 45 points), Contrôles de change (jusqu’à 45 points) et Contrôles du capital (jusqu’à 45 points). Jusqu'à 20 points supplémentaires peuvent être déduits pour des problèmes liés à la sécurité, à un manque d'infrastructure d'investissement de base ou d'autres politiques gouvernementales qui reflètent un degré d'incertitude, qui pèsent indirectement sur le processus d'investissement et qui limitent la liberté d'investissement. Au maximum, un pays peut perdre 300 points mais, s’il accumule 100 points ou plus, alors ce dernier se voit attribuer directement un score de 0.La liberté d'investissementÉconomiede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyProperty Rights (HF), Judicial Effectiveness (HF), Government Integrity (HF), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF) et Financial Freedom (HF)
Financial Freedom (HF)La Heritage Foundation est l’un des think tank les plus puissants des États-Unis, c’est-à-dire l’un des plus grands groupes de réflexion au service des décideurs politiques américains. De tradition conservatrice, la Heritage Foundation a été créée en 1973 par Joseph Coors, avec l’objectif de défendre le peuple américain et promouvoir l’Amérique, sans s’affilier à aucun parti politique ni groupe d’intérêt particulier. Concrètement, cela consiste en la résolution, par des experts (issus du monde des affaires, du gouvernement, du monde universitaire), des problèmes subis quotidiennement par la population américaine. Comme elle la définit elle-même, « La mission de la Heritage Foundation est de promouvoir des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise, du gouvernement limité, de la liberté individuelle, des valeurs américaines traditionnelles et d’une solide défense nationale ». Ainsi, depuis 50 ans, la Heritage Foundation ouvre la voie aux réformes dans tous les domaines politiques, de la fiscalité à la criminalité, en passant par la défense nationale. Avec plus de 100 experts en politique, elle démontre son engagement dans des problématiques politiques complexes, en apportant des solutions conservatrices simples et efficaces. Pour mettre davantage en place les solutions politiques qu’elle propose et afin de renouveler la confiance du peuple envers les élus politiques, la Heritage Foundation a créé la Heritage Action For America. La Heritage Action travaille au plus près des législateurs pour s’assurer que le peuple soit entendu et que des actions soient concrètement réalisées en conséquence. Le groupe de pression est efficace parce que sous la présidence de Ronald Reagan, ce sont près des deux tiers des 2 000 recommandations politiques de la fondation qui ont été mises en œuvre. La Heritage Foundation est également à l’origine de la législation historique datant de 1996, sur la réforme de l’aide sociale, qui a contribué à réduire la pauvreté des enfants et à augmenter l’emploi.Mondiale1995 à 2024En 1995, la Heritage Foundation a publié la première édition de l’indice Economic Freedom. Depuis trente ans, ce guide annuel fournit une analyse réfléchie de la liberté économique, que la Heritage Foundation définit comme étant “le droit fondamental de chaque être humain de contrôler son propre travail et ses biens”. La liberté économique mesure donc “la liberté des individus d’utiliser leur travail ou leurs finances sans restrictions excessives ni ingérence du gouvernement”. L’indice Economic Freedom est un outil destiné à un public varié, qui comprend les universitaires, les décideurs politiques, les journalistes, les étudiants, les enseignants ou encore les professionnels des affaires et de la finance. L’édition 2024 analyse 12 libertés économiques de 184 économies à travers le monde. Elles sont évaluées sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre catégories : État de droit (i), Taille du gouvernement (ii), Efficacité réglementaire (iii) et Marchés ouverts (iv). Le score global de liberté économique d'un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces 12 composantes, en donnant un poids égal à chacune, sachant qu’elles sont classées sur une échelle de 0 à 100. Chacune des dimensions de la liberté économique joue un rôle crucial dans la promotion et le maintien de la prospérité personnelle et nationale. Elles sont toutes complémentaires dans leur impact puisqu’un progrès dans un domaine peut renforcer le progrès dans un autre et, de la même manière, la liberté économique réprimée dans un domaine peut rendre le progrès beaucoup plus difficile dans un autre domaine.L’indicateur Financial Freedom est l’un des 3 critères de la catégorie “Efficacité réglementaire” (iii), et donc un des 12 facteurs qui permet de mesurer l’indice Economic Freedom. L’indicateur Financial Freedom évalue le niveau global de liberté financière qui garantit un accès facile et efficace aux possibilités de financement pour les personnes et les entreprises d’un pays à travers cinq dimensions : L’étendue de la réglementation gouvernementale des services financiers (a), Le degré d’intervention de l’État dans les banques et autres institutions financières par le biais d’une propriété directe ou indirecte (b), L’influence du gouvernement sur l’allocation du crédit (c), Le degré de développement des marchés financiers et des capitaux (d) et L'ouverture à la concurrence étrangère (e). À partir de cette évaluation, chaque pays reçoit un score sur une échelle de 0 à 100, avec une graduation par unités de 10, c'est-à-dire qu’il est possible d’attribuer seulement 11 notes possibles qui évoluent de 10 et 10 avec une signification particulière pour chaque palier. Par exemple, un score de 0 correspond à l'inexistence d’institutions financières, un score de 10 signifie une création de banques restreinte et une interdiction d’exercice aux institutions financières étrangères, un score de 20 correspond à une banque centrale dépendante du gouvernement qui pratique un contrôle répressif sur les institutions financières et limite fortement de la présence d’institutions financières étrangères… La liberté financièreÉconomiede 0 à 100https://www.heritage.org/index/pages/about#indexMethodologyFinancial Secrecy Index (FSI, TJN)Property Rights (HF), Judicial Effectiveness (HF), Government Integrity (HF), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Monetary Freedom (HF), Trade Freedom (HF) et Investment Freedom (HF)
Right to Education (SERF_Low and Middle Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon la norme haut revenu ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Education (SERF_Low and Middle Income), c’est la moyenne du taux net de scolarisation primaire, du taux net de scolarisation secondaire ainsi que les résultats des tests harmonisés des principaux programmes internationaux de tests de réussite des étudiants. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit à l'éducationDroits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI), Kids Rights Index et Human Development (IIAG)Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Right to Health (SERF_Low and Middle Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Health (SERF_Low and Middle Income), c’est la moyenne du taux de survie des adultes (15-60 ans), du taux de mortalité infantile et du taux d’utilisation de contraceptifs modernes (couples 15-49 ans). Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit à la santé Droits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI), Kids Rights Index et Human Development (IIAG)Right to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Right to Housing (SERF_Low and Middle Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), c’est la moyenne du pourcentage de la population ayant un accès à l’eau et du pourcentage de la population disposant d’au moins un assainissement de base. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit au logementDroits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI) et Human Development (IIAG) et Kids Rights Index
Right to Food (SERF_Low and Middle Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), c’est la moyenne du pourcentage de la population ayant un accès à l’eau et du pourcentage de la population disposant d’au moins un assainissement de base. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit au logementDroits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI) et Human Development (IIAG) et Kids Rights IndexRight to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Right to Work (SERF_Low and Middle Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Work (SERF_Low and Middle Income), c’est la moyenne du taux de pauvreté. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit à l’alimentationDroits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI), Worker’s Rights (CIRI), Labor Freedom (HF) et Human Development (IIAG) et Kids Rights IndexRight to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Right to Education (SERF_High Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Education (SERF_High Income), c’est la moyenne du taux net de scolarisation dans l’enseignement secondaire supérieur, du pourcentage de réussite au niveau 3 ou plus au test PISA en sciences, en mathématiques et de lecture. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit à l’éducation Droits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI), Kids Rights Index et Human Development (IIAG)Right to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Right to Health (SERF_High Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Health (SERF_High Income), c’est la moyenne du taux de survie des personnes âgées (60-80 ans), du taux de mortalité infantile et du pourcentage de bébés à faible poids à la naissance. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit à la santéDroits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI), Kids Rights Index et Human Development (IIAG)Right to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Right to Housing (SERF_High Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Housing (SERF_High Income), c’est la moyenne du pourcentage de ménages disposant d'un système d'assainissement géré en toute sécurité et du pourcentage du quintile de population le plus pauvre disposant d'un logement abordable. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit au logementDroits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI), Private Property (BF), Property Rights Index (HF) et Human Development (IIAG) et Kids Rights Index Right to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Right to Food (SERF_High Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Food (SERF_High Income), c’est la moyenne du pourcentage d’insécurité alimentaire modérée ou sévère. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit à l'alimentationDroits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI) et Human Development (IIAG) et Kids Rights Index Right to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income) et Right to Work (SERF_High Income)
Right to Work (SERF_High Income)L’indicateur Social and Economic Rights Fulfillment (SERF) a été crée en 2009 par les économistes enseignantes et chercheuses Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson Remer de la New School et Susan Randolph de l’université du Connecticut. Ensemble, elles ont lancé l’initiative d’autonomisation des droits sociaux et économiques dans le but de développer un indicateur innovant (l’indice SERF) qui permet d’évaluer comment “les pays ont respecté leurs obligations immédiates de résultat en matière de droits économiques et sociaux fondamentaux” vis-à-vis de leur engagement concernant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (ICESCR). Il est question d’observer comment un pays utilise ses ressources et les distribue de manière à garantir les droits essentiels de la population en matière d’accès à l’éducation, à un logement décent, à la santé, à la nourriture et à un revenu suffisant pour obtenir un emploi. L’indice “permet d'évaluer objectivement si la situation générale d'un pays s'améliore ou se détériore, permet d'effectuer des comparaisons entre les pays en matière de respect des droits et fournit une méthodologie pour examiner les disparités dans la réalisation des droits entre les régions, ou entre les sous-groupes raciaux et ethniques ou d'autres sous-groupes de population.” Mondiale1990 à 2020L’indicateur SERF est un outil de comparaison qui note près de 170 pays et examine “le niveau de jouissance d'un droit par rapport à la meilleure pratique dans des pays ayant approximativement le même revenu par habitant”. L’indice SERF mesure deux types de profils : les revenus faibles et moyens (a) qui imposent aux pays un respect de base en matière des droits et l’évaluation des hauts revenus (b) qui exige une norme plus élevée et donc plus adaptée aux défis des pays à revenus plus hauts. Chaque pays obtient un score pour les deux catégories d’évaluation dès lors que ses données sont disponibles, c'est-à-dire qu’un pays à faible revenus aura également un score pour la catégorie pays à haut revenu et inversement pour les pays à hauts revenus. L’indice SERF se base sur l’ICESCR et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour définir 5 thématiques à mesurer concernant les droits des individus et les obligations des Etats. Les 5 indicateurs SERF sont les suivants : Droit à l’éducation (i); Droit à l’alimentation (ii); Droit à la santé (iii); Droit au logement (iv) et Droit de travailler (v). Chaque indicateur est mesuré deux fois (faibles revenus et hauts revenus) pour chaque pays. Les sources de données pour produire les indicateurs SERF sont variées et proviennent essentiellement de grandes organisations mondiales telles que l’UNICEF, l’OCDE, les Nations-Unies, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture… Le score d’un pays est obtenu en faisant la moyenne des critères retenus pour chacun des 5 indicateurs selon selon la norme haut revenus ou moyen et bas revenu. Par exemple, pour l’indicateur Right to Work (SERF_High Income), c’est la moyenne du taux de pauvreté relative et le pourcentage de chômeurs de longue durée. Le score obtenu pour chaque pays indique le pourcentage de réalisation possible obtenue, au niveau de revenu par habitant du pays et peut aller de 0 à 100. Un score de 0 signifie qu’un pays ne respecte pas le droit évalué par rapport à ce qui serait possible compte tenu de son niveau de revenu par habitant. En revanche, un score de 100 pour un pays signifie qu’il respecte aussi bien le droit que le pays de référence le plus historiquement performant à ce niveau de revenu par habitant. Un pays à haut revenu qui dispose de ressources suffisantes pour appliquer correctement le droit concerné et qui ne le fait pas se voit infliger une pénalité, qui est d’autant plus élevée s’il a un revenu supérieur au pays de référence qui applique la pleine réalisation du droit.Droit de travaillerDroits fondamentaux de 0 à 100https://serfindex.uconn.edu/ Global Rights Index (CSI), Worker’s Rights (CIRI), Labor Freedom (HF) et Human Development (IIAG) et Kids Rights IndexRight to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income) et Right to Food (SERF_High Income)
Deliberative Democracy Index (V-Dem)Le projet de recherche Variétés de démocratie (V-dem) est créé en 2014 par Staffan I.Lindberg, politologue suédois. Le siège social est situé à l’Institut V-dem du département de sciences politiques de l’Université de Göteborg. Cet institut international regroupe 4 200 experts et chercheurs qui ont pour objectif d’étudier la démocratie, ses diverses composantes et son évolution dans les différents pays du monde. L’approche adoptée par les chercheurs consiste en la mesure de 5 principes démocratiques fondamentaux de la démocratie : électoral (i), libéral (ii), participatif (iii), délibératif (iv) et égalitaire (v). L’institut V-dem publie également un rapport chaque année dans le but de donner ses conclusions globales sur les résultats obtenus par pays. Mondiale1900 à 2023L’institut V-dem collecte un maximum de données (31 millions au total) sur la démocratie pour chacun des 202 pays évalués grâce à son vaste réseau mondial d’experts. En effet, chaque expert national doit répondre à des enquêtes en ligne qui permettent ensuite à l’Institut de développer 600 indicateurs mesurant les 5 composantes de la démocratie précédemment identifiées, en remontant de 1789 à nos jours. Un minimum de 5 experts par indicateur est requis, ce qui signifie qu’il faut au moins 25 experts par pays pour mesurer chacune des 5 composantes de la démocratie.Le principe délibératif de la démocratie se concentre sur le processus par lequel les décisions sont prises dans un État. Un processus délibératif est un processus dans lequel le raisonnement public, axé sur le bien commun, motive les décisions politiques. Selon ce principe, la démocratie exige plus qu'une agrégation des préférences existantes. Il doit également y avoir un dialogue respectueux à tous les niveaux (de la formation des préférences à la décision finale entre des participants informés et compétents, ouverts à la persuasion).L’indicateur de la démocratie délibérative se base sur l’évaluation de deux sous-indicateurs : l’indice de démocratie électorale (a) et l’indice de composante délibérative (b). Le sous-indicateur (a) vise à assurer la réactivité et la responsabilité des dirigeants et des citoyens par le biais d'élections compétitives. Cet objectif est présumé atteint lorsque le suffrage est large, que les organisations politiques et de la société civile peuvent fonctionner librement, que les élections sont propres et non entachées de fraude ou d'irrégularités systématiques et que le chef de l'exécutif d'un pays est choisi directement ou indirectement par le biais d'élections. Quant à lui, le sous-indicateur (b) évalue la manière dont les élites politiques justifient publiquement leurs positions sur les questions de politique publique, justifient leurs positions en termes de bien public, reconnaissent et respectent les contre-arguments, et dans quelle mesure l'éventail des consultations est large au niveau des élites. L’institut agrège l’ensemble des réponses ordinales des experts et les convertit selon la théorie bayésienne élémentaire-réponse (IRT) pour lisser les différences d’appréciations et de jugements afin d’obtenir des seuils de notation quantitatifs similaires. La méthode permet d’évaluer le degré de fiabilité d’un expert par rapport à un autre et d’observer sa propre perception de l’échelle de réponse par rapport aux autres experts. Le score final de l’indicateur Deliberative Democracy est obtenu en agrégeant le score total obtenu pour les deux sous-indicateurs (a) et (b). Démocratie délibérativeDémocratiede 0 à 1https://www.v-dem.net/ Voice and Accountability (WGI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF), Stability of Democratic Institutions (BF), Electoral Self-Determination (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Electoral Democracy Index (V-Dem), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem) et Participatory Democracy Index (V-Dem)
Electoral Democracy Index (V-Dem)Le projet de recherche Variétés de démocratie (V-dem) est créé en 2014 par Staffan I.Lindberg, politologue suédois. Le siège social est situé à l’Institut V-dem du département de sciences politiques de l’Université de Göteborg. Cet institut international regroupe 4 200 experts et chercheurs qui ont pour objectif d’étudier la démocratie, ses diverses composantes et son évolution dans les différents pays du monde. L’approche adoptée par les chercheurs consiste en la mesure de 5 principes démocratiques fondamentaux de la démocratie : électoral (i), libéral (ii), participatif (iii), délibératif (iv) et égalitaire (v). L’institut V-dem publie également un rapport chaque année dans le but de donner ses conclusions globales sur les résultats obtenus par pays. Mondiale1789 à 2023L’institut V-dem collecte un maximum de données (31 millions au total) sur la démocratie pour chacun des 202 pays évalués grâce à son vaste réseau mondial d’experts. En effet, chaque expert national doit répondre à des enquêtes en ligne qui permettent ensuite à l’Institut de développer 600 indicateurs mesurant les 5 composantes de la démocratie précédemment identifiées, en remontant de 1789 à nos jours. Un minimum de 5 experts par indicateur est requis, ce qui signifie qu’il faut au moins 25 experts par pays pour mesurer chacune des 5 composantes de la démocratie.Le principe électoral de la démocratie vise à assurer la réactivité et la responsabilité des dirigeants et des citoyens par le biais d'élections compétitives. Cet objectif est présumé atteint lorsque le suffrage est large, que les organisations politiques et de la société civile peuvent fonctionner librement, que les élections sont propres et non entachées de fraude ou d'irrégularités systématiques et que le chef de l'exécutif d'un pays est choisi directement ou indirectement par le biais d'élections. Dans la conception V-Dem, cet indicateur est considéré comme un élément essentiel de toutes les autres conceptions de la démocratie (libérale, participative, délibérative, égalitaire…).L’indicateur de la démocratie électorale se base sur l’évaluation de deux sous-indicateurs : l’indice de polyarchie additif (a) et l’indice de polyarchie multiplicatif (b). Le sous-indicateur (a) est obtenu en calculant la moyenne pondérée de 5 composantes qui sont : la liberté d'association (1), le suffrage (2), les élections propres (3), l’exécutif élu (4), la liberté d'expression et les sources d'information alternatives (5). Quant à lui, le sous-indicateur (b) est obtenu en faisant une multiplication de ces 5 composantes. L’institut agrège l’ensemble des réponses ordinales des experts et les convertit selon la théorie bayésienne élémentaire-réponse (IRT) pour lisser les différences d’appréciations et de jugements afin d’obtenir des seuils de notation quantitatifs similaires. La méthode permet d’évaluer le degré de fiabilité d’un expert par rapport à un autre et d’observer sa propre perception de l’échelle de réponse par rapport aux autres experts. Le score final de l’indicateur Electoral Democracy est obtenu en agrégeant le score total obtenu pour les deux sous-indicateurs (a) et (b). Démocratie électoraleDémocratiede 0 à 1https://www.v-dem.net/ Voice and Accountability (WGI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF), Stability of Democratic Institutions (BF), Electoral Self-Determination (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Deliberative Democracy Index (V-Dem), Egalitarian Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem) et Participatory Democracy Index (V-Dem)
Egalitarian Democracy Index (V-Dem)Le projet de recherche Variétés de démocratie (V-dem) est créé en 2014 par Staffan I.Lindberg, politologue suédois. Le siège social est situé à l’Institut V-dem du département de sciences politiques de l’Université de Göteborg. Cet institut international regroupe 4 200 experts et chercheurs qui ont pour objectif d’étudier la démocratie, ses diverses composantes et son évolution dans les différents pays du monde. L’approche adoptée par les chercheurs consiste en la mesure de 5 principes démocratiques fondamentaux de la démocratie : électoral (i), libéral (ii), participatif (iii), délibératif (iv) et égalitaire (v). L’institut V-dem publie également un rapport chaque année dans le but de donner ses conclusions globales sur les résultats obtenus par pays. Mondiale1900 à 2023L’institut V-dem collecte un maximum de données (31 millions au total) sur la démocratie pour chacun des 202 pays évalués grâce à son vaste réseau mondial d’experts. En effet, chaque expert national doit répondre à des enquêtes en ligne qui permettent ensuite à l’Institut de développer 600 indicateurs mesurant les 5 composantes de la démocratie précédemment identifiées, en remontant de 1789 à nos jours. Un minimum de 5 experts par indicateur est requis, ce qui signifie qu’il faut au moins 25 experts par pays pour mesurer chacune des 5 composantes de la démocratie.L’institut V-dem réussi à collecter un maximum de données (31 millions au total) pour chacun des 202 pays évalués grâce à son vaste réseau mondial d’experts. En effet, chaque expert national doit répondre à des enquêtes en ligne qui permettent ensuite à l’Institut de développer 600 indicateurs mesurant les 5 composantes de la démocratie précédemment identifiées en remontant de 1789 à nos jours. Un minimum de 5 experts par indicateur est requis, ce qui signifie qu’il faut 25 experts par pays pour mesurer chacune des 5 composantes de la démocratie. Méthode de calcul de l’indicateur : Le principe égalitaire de la démocratie soutient que les inégalités matérielles et immatérielles empêchent l'exercice des droits et libertés et diminuent la capacité des citoyens de tous les groupes sociaux à participer. La démocratie égalitaire est atteinte lorsque les droits et les libertés des individus sont protégés de manière égale dans tous les groupes sociaux, que les ressources sont réparties de manière égale dans tous les groupes sociaux et que les groupes et les individus jouissent d'un accès égal au pouvoir.L’indicateur de la démocratie égalitaire se base sur l’évaluation de deux sous-indicateurs : l’indice de démocratie électorale (a) et l’indice de composante égalitaire (b). Le sous-indicateur (a) vise à assurer la réactivité et la responsabilité des dirigeants et des citoyens par le biais d'élections compétitives. Cet objectif est présumé atteint lorsque le suffrage est large, que les organisations politiques et de la société civile peuvent fonctionner librement, que les élections sont propres et non entachées de fraude ou d'irrégularités systématiques et que le chef de l'exécutif d'un pays est choisi directement ou indirectement par le biais d'élections. Quant à lui, le sous indicateur (b) évalue si la protection sociale est la même pour toutes les classes et groupes sociaux, si la distribution et la répartition des ressources est équitable et si l’accès au pouvoir est le même pour tous. Démocratie égalitaire Démocratiede 0 à 1https://www.v-dem.net/ Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Stability of Democratic Institutions (BF), Electoral Self-Determination (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Overall Governance (IIAG) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Deliberative Democracy Index (V-Dem), Electoral Democracy Index (V-Dem), Liberal Democracy Index (V-Dem) et Participatory Democracy Index (V-Dem)
Liberal Democracy Index (V-Dem)Le projet de recherche Variétés de démocratie (V-dem) est créé en 2014 par Staffan I.Lindberg, politologue suédois. Le siège social est situé à l’Institut V-dem du département de sciences politiques de l’Université de Göteborg. Cet institut international regroupe 4 200 experts et chercheurs qui ont pour objectif d’étudier la démocratie, ses diverses composantes et son évolution dans les différents pays du monde. L’approche adoptée par les chercheurs consiste en la mesure de 5 principes démocratiques fondamentaux de la démocratie : électoral (i), libéral (ii), participatif (iii), délibératif (iv) et égalitaire (v). L’institut V-dem publie également un rapport chaque année dans le but de donner ses conclusions globales sur les résultats obtenus par pays. Mondiale1789 à 2023L’institut V-dem collecte un maximum de données (31 millions au total) sur la démocratie pour chacun des 202 pays évalués grâce à son vaste réseau mondial d’experts. En effet, chaque expert national doit répondre à des enquêtes en ligne qui permettent ensuite à l’Institut de développer 600 indicateurs mesurant les 5 composantes de la démocratie précédemment identifiées, en remontant de 1789 à nos jours. Un minimum de 5 experts par indicateur est requis, ce qui signifie qu’il faut au moins 25 experts par pays pour mesurer chacune des 5 composantes de la démocratie.Le principe libéral de la démocratie souligne l'importance de protéger les droits des individus et des minorités contre la tyrannie de l'État et la tyrannie de la majorité. Le modèle libéral adopte une vision "négative" du pouvoir politique dans la mesure où il juge la qualité de la démocratie en fonction des limites imposées au gouvernement. Pour ce faire, les libertés civiles sont protégées par la Constitution, l'État de droit est fort, le pouvoir judiciaire est indépendant et des mécanismes de contrôle efficaces limitent l'exercice du pouvoir exécutif. L’indicateur de la démocratie libérale se base sur l’évaluation de deux sous-indicateurs majeurs : l’indice de démocratie électorale (a) et l’indice de composante libérale (b). Le sous-indicateur (a) vise à assurer la réactivité et la responsabilité des dirigeants et des citoyens par le biais d'élections compétitives. Cet objectif est présumé atteint lorsque le suffrage est large, que les organisations politiques et de la société civile peuvent fonctionner librement, que les élections sont propres et non entachées de fraude ou d'irrégularités systématiques et que le chef de l'exécutif d'un pays est choisi directement ou indirectement par le biais d'élections. Quant à lui, le sous indicateur (b) évalue l’égalité devant la loi et les libertés individuelles, les contraintes judiciaires et les contraintes législatives qui pèsent sur l'exécutif. L’institut agrège l’ensemble des réponses ordinales des experts et les convertit selon la théorie bayésienne élémentaire-réponse (IRT) pour lisser les différences d’appréciations et de jugements afin d’obtenir des seuils de notation quantitatifs similaires. La méthode permet d’évaluer le degré de fiabilité d’un expert par rapport à un autre et d’observer sa propre perception de l’échelle de réponse par rapport aux autres experts. Le score final de l’indicateur Liberal Democracy est obtenu en agrégeant le score total obtenu pour les deux sous-indicateurs (a) et (b). Démocratie libéraleDémocratiede 0 à 1https://www.v-dem.net/ Control of Corruption (WGI), Voice and Accountability (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Rule of Law (WJP), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Rule of Law (BF), Democracy Index (Economist), Stability of Democratic Institutions (BF), Government Integrity (HF), Overall Governance (IIAG) et Security and Rule of Law (IIAG)Deliberative Democracy Index (V-Dem), Electoral Democracy Index (V-Dem), Egalitarian Democracy Index (V-Dem) et Participatory Democracy Index (V-Dem)
Participatory Democracy Index (V-Dem)Le projet de recherche Variétés de démocratie (V-dem) est créé en 2014 par Staffan I.Lindberg, politologue suédois. Le siège social est situé à l’Institut V-dem du département de sciences politiques de l’Université de Göteborg. Cet institut international regroupe 4 200 experts et chercheurs qui ont pour objectif d’étudier la démocratie, ses diverses composantes et son évolution dans les différents pays du monde. L’approche adoptée par les chercheurs consiste en la mesure de 5 principes démocratiques fondamentaux de la démocratie : électoral (i), libéral (ii), participatif (iii), délibératif (iv) et égalitaire (v). L’institut V-dem publie également un rapport chaque année dans le but de donner ses conclusions globales sur les résultats obtenus par pays. Mondiale1789 à 2023L’institut V-dem collecte un maximum de données (31 millions au total) sur la démocratie pour chacun des 202 pays évalués grâce à son vaste réseau mondial d’experts. En effet, chaque expert national doit répondre à des enquêtes en ligne qui permettent ensuite à l’Institut de développer 600 indicateurs mesurant les 5 composantes de la démocratie précédemment identifiées, en remontant de 1789 à nos jours. Un minimum de 5 experts par indicateur est requis, ce qui signifie qu’il faut au moins 25 experts par pays pour mesurer chacune des 5 composantes de la démocratie.Le principe participatif de la démocratie met l'accent sur la participation active des citoyens à tous les processus politiques, électoraux ou non. Il est motivé par l'inquiétude que suscite une pratique fondamentale de la démocratie électorale : la délégation d'autorité à des représentants. C'est pourquoi le pouvoir direct des citoyens est privilégié, dans la mesure du possible. Ce modèle de démocratie considère donc le suffrage comme acquis et met l'accent sur l'engagement des citoyens dans les organisations de la société civile, la démocratie directe et les organes élus au niveau infranational. L’indicateur de la démocratie participative se base sur l’évaluation de deux sous-indicateurs majeurs : l’indice de démocratie électorale (a) et l’indice de composante participative (b). Le sous-indicateur (a) vise à assurer la réactivité et la responsabilité des dirigeants et des citoyens par le biais d'élections compétitives. Cet objectif est présumé atteint lorsque le suffrage est large, que les organisations politiques et de la société civile peuvent fonctionner librement, que les élections sont propres et non entachées de fraude ou d'irrégularités systématiques et que le chef de l'exécutif d'un pays est choisi directement ou indirectement par le biais d'élections. Quant à lui, le sous indicateur (b) évalue la participation politique de la société civile, le vote direct de la population, le pouvoir des administrations locales et régionales élues. L’institut agrège l’ensemble des réponses ordinales des experts et les convertit selon la théorie bayésienne élémentaire-réponse (IRT) pour lisser les différences d’appréciations et de jugements afin d’obtenir des seuils de notation quantitatifs similaires. La méthode permet d’évaluer le degré de fiabilité d’un expert par rapport à un autre et d’observer sa propre perception de l’échelle de réponse par rapport aux autres experts. Le score final de l’indicateur Participatory Democracy est obtenu en agrégeant le score total obtenu pour les deux sous-indicateurs (a) et (b). Démocratie participativeDémocratiede 0 à 1https://www.v-dem.net/ Voice and Accountability (WGI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Political Participation (BF), Empowerment Rights Index OLD (CIRI), Empowerment Rights Index NEW (CIRI), Electoral Self-Determination (CIRI), Overall Governance (IIAG), Participation, Rights, and Inclusion (IIAG) et Public Perception of Overall Governance (IIAG)Deliberative Democracy Index (V-Dem), Electoral Democracy Index (V-Dem), Egalitarian Democracy Index (V-Dem) et Liberal Democracy Index (V-Dem)
Overall Governance (IIAG)La Fondation Mo Ibrahim a été créée en 2006 par l'homme d'affaires soudanais Mo Ibrahim. C’est une organisation africaine qui cherche à accélérer le développement et la transformation de l’Afrique en mesurant ses performances de gouvernance afin que le continent s’adapte aux défis mondiaux (santé, climat, sécurité, développement des services publics…). La gouvernance est définie par la fondation comme l’ensemble des biens et services sociaux, économiques, politiques et environnementaux qu’un Etat a le devoir de fournir à ses citoyens. Ainsi, la fondation rassemble une multitude d’acteurs (citoyens, universitaires, gouvernements) qui s’intéressent aux résultats et aux conséquences des politiques mises en place dans les différents pays d’Afrique afin de retenir les plus efficaces. La fondation travaille en étroite collaboration avec des organisations de premier plan (l’Afrobaromètre, la Banque Africaine de développement) et donne une voix importante aux citoyens en leur permettant d’évaluer et de développer leurs propres perceptions de ce que représente la gouvernance Africaine, qui n’est pas seulement basée sur des évaluations faites pas des experts, mais sur leurs propres perceptions et expériences de la vie quotidienne. Afrique 2012 à 2021Depuis 2007, la Fondation Mo Ibrahim publie tous les deux ans l’indice de gouvernance africaine (IIAG), qui évalue les performances de la gouvernance dans une cinquantaine de pays africains. L'IIAG constitue l'ensemble de données le plus complet car il mesure les performances de la gouvernance en Afrique à partir de données provenant de 47 institutions africaines et mondiales indépendantes. Il fournit des scores et des tendances spécifiques au niveau continental, régional et national, sur un large éventail de thématiques liées à la gouvernance, telles que la sécurité, la justice, les droits, les opportunités économiques ou encore la santé. L'IIAG est composé de quatre catégories principales qui constituent le score global de gouvernance : Sécurité et État de droit (i), Participation, droits et inclusion (ii), Fondements des opportunités économiques (iii) et Développement humain (iv). Ces catégories sont elles-mêmes composées de 16 sous-catégories, constituées de 81 critères. L'IIAG s'accompagne d'un ensemble de données complémentaires intitulé "Citizens' Voices", qui rassemble 36 variables de perception publique issues de l’Afrobaromètre, principale institution de recherche panafricaine qui mène des enquêtes d’opinion publique sur le continent. Citizens’ Voices complète les résultats de l'IIAG avec les perceptions et la satisfaction des citoyens à l'égard des services publics. Il s’agit d’une section externe calculée comme un indice distinct, ses scores ne sont donc pas pris en compte dans le calcul des scores de l'IIAG.Les variables jugées cohérentes avec la définition de la gouvernance de la fondation et qui répondent à des normes spécifiques de qualité, de périodicité et de couverture des pays sont d’abord sélectionnées tandis que les valeurs des données brutes manquantes sont estimées. Les données brutes étant issues de sources différentes, elles sont normalisées sur une échelle de 0 à 100 (100 étant le meilleur score possible) pour être comparées et combinées. Une fois les 265 variables normalisées, une méthode simple d'agrégation est appliquée pour calculer les 81 critères. Le score global de gouvernance est égal à la moyenne des scores de ses 4 catégories, les scores de ces catégories sont construits en faisant la moyenne de leurs sous-catégories, tandis que les sous-catégories correspondent à la moyenne de leurs critères. L’indicateur Overall Governance présente les résultats de la gouvernance globale, le score, qui varie de 0 à 100, est donc égal à la moyenne des 4 catégories : Sécurité et État de droit (i), Participation, droits et inclusion (ii), Fondements des opportunités économiques (iii) et Développement humain (iv).La qualité de la gouvernanceDémocratiede 0 à 100https://iiag.online/about.htmlGovernment Effectiveness (WGI) et Democracy Status (BF)Security and Rule of Law (IIAG), Participation, Rights and Inclusion (IIAG), Foundations for Economic Opportunity (IIAG), Human Development (IIAG) et Public Perception of Overall Governance (IIAG)
Security and Rule of Law (IIAG)La Fondation Mo Ibrahim a été créée en 2006 par l'homme d'affaires soudanais Mo Ibrahim. C’est une organisation africaine qui cherche à accélérer le développement et la transformation de l’Afrique en mesurant ses performances de gouvernance afin que le continent s’adapte aux défis mondiaux (santé, climat, sécurité, développement des services publics…). La gouvernance est définie par la fondation comme l’ensemble des biens et services sociaux, économiques, politiques et environnementaux qu’un Etat a le devoir de fournir à ses citoyens. Ainsi, la fondation rassemble une multitude d’acteurs (citoyens, universitaires, gouvernements) qui s’intéressent aux résultats et aux conséquences des politiques mises en place dans les différents pays d’Afrique afin de retenir les plus efficaces. La fondation travaille en étroite collaboration avec des organisations de premier plan (l’Afrobaromètre, la Banque Africaine de développement) et donne une voix importante aux citoyens en leur permettant d’évaluer et de développer leurs propres perceptions de ce que représente la gouvernance Africaine, qui n’est pas seulement basée sur des évaluations faites pas des experts, mais sur leurs propres perceptions et expériences de la vie quotidienne. Afrique 2012 à 2021Depuis 2007, la Fondation Mo Ibrahim publie tous les deux ans l’indice de gouvernance africaine (IIAG), qui évalue les performances de la gouvernance dans une cinquantaine de pays africains. L'IIAG constitue l'ensemble de données le plus complet car il mesure les performances de la gouvernance en Afrique à partir de données provenant de 47 institutions africaines et mondiales indépendantes. Il fournit des scores et des tendances spécifiques au niveau continental, régional et national, sur un large éventail de thématiques liées à la gouvernance, telles que la sécurité, la justice, les droits, les opportunités économiques ou encore la santé. L'IIAG est composé de quatre catégories principales qui constituent le score global de gouvernance : Sécurité et État de droit (i), Participation, droits et inclusion (ii), Fondements des opportunités économiques (iii) et Développement humain (iv). Ces catégories sont elles-mêmes composées de 16 sous-catégories, constituées de 81 critères. L'IIAG s'accompagne d'un ensemble de données complémentaires intitulé "Citizens' Voices", qui rassemble 36 variables de perception publique issues de l’Afrobaromètre, principale institution de recherche panafricaine qui mène des enquêtes d’opinion publique sur le continent. Citizens’ Voices complète les résultats de l'IIAG avec les perceptions et la satisfaction des citoyens à l'égard des services publics. Il s’agit d’une section externe calculée comme un indice distinct, ses scores ne sont donc pas pris en compte dans le calcul des scores de l'IIAG.Les variables jugées cohérentes avec la définition de la gouvernance de la fondation et qui répondent à des normes spécifiques de qualité, de périodicité et de couverture des pays sont d’abord sélectionnées tandis que les valeurs des données brutes manquantes sont estimées. Les données brutes étant issues de sources différentes, elles sont normalisées sur une échelle de 0 à 100 (100 étant le meilleur score possible) pour être comparées et combinées. Une fois les 265 variables normalisées, une méthode simple d'agrégation est appliquée pour calculer les 81 critères. Le score global de gouvernance est égal à la moyenne des scores de ses 4 catégories, les scores de ces catégories sont construits en faisant la moyenne de leurs sous-catégories, tandis que les sous-catégories correspondent à la moyenne de leurs critères. L’indicateur Security and Rule of Law présente les résultats de la catégorie Sécurité et État de droit (i). Le score, qui varie de 0 à 100, est donc égal à la moyenne de ses 4 sous-catégories : Sécurité et sûreté (a), État de droit et justice (b), Responsabilité et transparence (c) et Anti-corruption (d).La sécurité des citoyens et l’application de l’État de droitAction publiquede 0 à 100https://iiag.online/about.htmlRule of Law (WGI), Rule of Law (BF), Rule of Law (WJP) et Global rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC)Overall Governance (IIAG), Participation, Rights and Inclusion (IIAG), Foundations for Economic Opportunity (IIAG), Human Development (IIAG) et Public Perception of Overall Governance (IIAG)
Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)La Fondation Mo Ibrahim a été créée en 2006 par l'homme d'affaires soudanais Mo Ibrahim. C’est une organisation africaine qui cherche à accélérer le développement et la transformation de l’Afrique en mesurant ses performances de gouvernance afin que le continent s’adapte aux défis mondiaux (santé, climat, sécurité, développement des services publics…). La gouvernance est définie par la fondation comme l’ensemble des biens et services sociaux, économiques, politiques et environnementaux qu’un Etat a le devoir de fournir à ses citoyens. Ainsi, la fondation rassemble une multitude d’acteurs (citoyens, universitaires, gouvernements) qui s’intéressent aux résultats et aux conséquences des politiques mises en place dans les différents pays d’Afrique afin de retenir les plus efficaces. La fondation travaille en étroite collaboration avec des organisations de premier plan (l’Afrobaromètre, la Banque Africaine de développement) et donne une voix importante aux citoyens en leur permettant d’évaluer et de développer leurs propres perceptions de ce que représente la gouvernance Africaine, qui n’est pas seulement basée sur des évaluations faites pas des experts, mais sur leurs propres perceptions et expériences de la vie quotidienne. Afrique 2012 à 2021Depuis 2007, la Fondation Mo Ibrahim publie tous les deux ans l’indice de gouvernance africaine (IIAG), qui évalue les performances de la gouvernance dans une cinquantaine de pays africains. L'IIAG constitue l'ensemble de données le plus complet car il mesure les performances de la gouvernance en Afrique à partir de données provenant de 47 institutions africaines et mondiales indépendantes. Il fournit des scores et des tendances spécifiques au niveau continental, régional et national, sur un large éventail de thématiques liées à la gouvernance, telles que la sécurité, la justice, les droits, les opportunités économiques ou encore la santé. L'IIAG est composé de quatre catégories principales qui constituent le score global de gouvernance : Sécurité et État de droit (i), Participation, droits et inclusion (ii), Fondements des opportunités économiques (iii) et Développement humain (iv). Ces catégories sont elles-mêmes composées de 16 sous-catégories, constituées de 81 critères. L'IIAG s'accompagne d'un ensemble de données complémentaires intitulé "Citizens' Voices", qui rassemble 36 variables de perception publique issues de l’Afrobaromètre, principale institution de recherche panafricaine qui mène des enquêtes d’opinion publique sur le continent. Citizens’ Voices complète les résultats de l'IIAG avec les perceptions et la satisfaction des citoyens à l'égard des services publics. Il s’agit d’une section externe calculée comme un indice distinct, ses scores ne sont donc pas pris en compte dans le calcul des scores de l'IIAG.Les variables jugées cohérentes avec la définition de la gouvernance de la fondation et qui répondent à des normes spécifiques de qualité, de périodicité et de couverture des pays sont d’abord sélectionnées tandis que les valeurs des données brutes manquantes sont estimées. Les données brutes étant issues de sources différentes, elles sont normalisées sur une échelle de 0 à 100 (100 étant le meilleur score possible) pour être comparées et combinées. Une fois les 265 variables normalisées, une méthode simple d'agrégation est appliquée pour calculer les 81 critères. Le score global de gouvernance est égal à la moyenne des scores de ses 4 catégories, les scores de ces catégories sont construits en faisant la moyenne de leurs sous-catégories, tandis que les sous-catégories correspondent à la moyenne de leurs critères. L’indicateur Participation, Rights and Inclusion présente les résultats de la catégorie Participation, droits et inclusion (ii). Le score, qui varie de 0 à 100, est donc égal à la moyenne de ses 4 sous-catégories : Participation (a), Droits (b), Inclusion et égalité (c) et Égalité des femmes (d).La participation, les droits et l’inclusion des citoyens à la vie politiqueDémocratiede 0 à 100https://iiag.online/about.htmlVoice and Accountability (WGI), Freedom in the World (FH), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Political Participation (BF), Political and Social Integration (BF), Electoral Self-Determination (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI), Egalitarian Democracy Index (V-Dem) et Liberal Democracy Index (V-Dem)Overall Governance (IIAG), Security and Rule of Law (IIAG), Foundations for Economic Opportunity (IIAG), Human Development (IIAG) et Public Perception of Overall Governance (IIAG)
Foundations for Economic Opportunity (IIAG)La Fondation Mo Ibrahim a été créée en 2006 par l'homme d'affaires soudanais Mo Ibrahim. C’est une organisation africaine qui cherche à accélérer le développement et la transformation de l’Afrique en mesurant ses performances de gouvernance afin que le continent s’adapte aux défis mondiaux (santé, climat, sécurité, développement des services publics…). La gouvernance est définie par la fondation comme l’ensemble des biens et services sociaux, économiques, politiques et environnementaux qu’un Etat a le devoir de fournir à ses citoyens. Ainsi, la fondation rassemble une multitude d’acteurs (citoyens, universitaires, gouvernements) qui s’intéressent aux résultats et aux conséquences des politiques mises en place dans les différents pays d’Afrique afin de retenir les plus efficaces. La fondation travaille en étroite collaboration avec des organisations de premier plan (l’Afrobaromètre, la Banque Africaine de développement) et donne une voix importante aux citoyens en leur permettant d’évaluer et de développer leurs propres perceptions de ce que représente la gouvernance Africaine, qui n’est pas seulement basée sur des évaluations faites pas des experts, mais sur leurs propres perceptions et expériences de la vie quotidienne. Afrique 2012 à 2021Depuis 2007, la Fondation Mo Ibrahim publie tous les deux ans l’indice de gouvernance africaine (IIAG), qui évalue les performances de la gouvernance dans une cinquantaine de pays africains. L'IIAG constitue l'ensemble de données le plus complet car il mesure les performances de la gouvernance en Afrique à partir de données provenant de 47 institutions africaines et mondiales indépendantes. Il fournit des scores et des tendances spécifiques au niveau continental, régional et national, sur un large éventail de thématiques liées à la gouvernance, telles que la sécurité, la justice, les droits, les opportunités économiques ou encore la santé. L'IIAG est composé de quatre catégories principales qui constituent le score global de gouvernance : Sécurité et État de droit (i), Participation, droits et inclusion (ii), Fondements des opportunités économiques (iii) et Développement humain (iv). Ces catégories sont elles-mêmes composées de 16 sous-catégories, constituées de 81 critères. L'IIAG s'accompagne d'un ensemble de données complémentaires intitulé "Citizens' Voices", qui rassemble 36 variables de perception publique issues de l’Afrobaromètre, principale institution de recherche panafricaine qui mène des enquêtes d’opinion publique sur le continent. Citizens’ Voices complète les résultats de l'IIAG avec les perceptions et la satisfaction des citoyens à l'égard des services publics. Il s’agit d’une section externe calculée comme un indice distinct, ses scores ne sont donc pas pris en compte dans le calcul des scores de l'IIAG.Les variables jugées cohérentes avec la définition de la gouvernance de la fondation et qui répondent à des normes spécifiques de qualité, de périodicité et de couverture des pays sont d’abord sélectionnées tandis que les valeurs des données brutes manquantes sont estimées. Les données brutes étant issues de sources différentes, elles sont normalisées sur une échelle de 0 à 100 (100 étant le meilleur score possible) pour être comparées et combinées. Une fois les 265 variables normalisées, une méthode simple d'agrégation est appliquée pour calculer les 81 critères. Le score global de gouvernance est égal à la moyenne des scores de ses 4 catégories, les scores de ces catégories sont construits en faisant la moyenne de leurs sous-catégories, tandis que les sous-catégories correspondent à la moyenne de leurs critères. L’indicateur Foundations for Economic Opportunity présente les résultats de la catégorie Fondements des opportunités économiques (iii). Le score, qui varie de 0 à 100, est donc égal à la moyenne de ses 4 sous-catégories : Administration publique (a), Environnement des entreprises et du travail (b), Infrastructure (c) et Économie rurale (d).Le fondement des opportunités économiquesÉconomiede 0 à 100https://iiag.online/about.htmlDoing Business (WB), Global competitiveness index (WE forum), Business regulatory environment rating (CPIA), Women’s Economic Rights (CIRI), Business Freedom (HF), Labor Freedom (HF), Right to Work (SERF_Low and Middle Income) et Right to Work (SERF_High Income)Overall Governance (IIAG), Security and Rule of Law (IIAG), Participation, Rights and Inclusion (IIAG), Human Development (IIAG) et Public Perception of Overall Governance (IIAG)
Human Development (IIAG)La Fondation Mo Ibrahim a été créée en 2006 par l'homme d'affaires soudanais Mo Ibrahim. C’est une organisation africaine qui cherche à accélérer le développement et la transformation de l’Afrique en mesurant ses performances de gouvernance afin que le continent s’adapte aux défis mondiaux (santé, climat, sécurité, développement des services publics…). La gouvernance est définie par la fondation comme l’ensemble des biens et services sociaux, économiques, politiques et environnementaux qu’un Etat a le devoir de fournir à ses citoyens. Ainsi, la fondation rassemble une multitude d’acteurs (citoyens, universitaires, gouvernements) qui s’intéressent aux résultats et aux conséquences des politiques mises en place dans les différents pays d’Afrique afin de retenir les plus efficaces. La fondation travaille en étroite collaboration avec des organisations de premier plan (l’Afrobaromètre, la Banque Africaine de développement) et donne une voix importante aux citoyens en leur permettant d’évaluer et de développer leurs propres perceptions de ce que représente la gouvernance Africaine, qui n’est pas seulement basée sur des évaluations faites pas des experts, mais sur leurs propres perceptions et expériences de la vie quotidienne. Afrique 2012 à 2021Depuis 2007, la Fondation Mo Ibrahim publie tous les deux ans l’indice de gouvernance africaine (IIAG), qui évalue les performances de la gouvernance dans une cinquantaine de pays africains. L'IIAG constitue l'ensemble de données le plus complet car il mesure les performances de la gouvernance en Afrique à partir de données provenant de 47 institutions africaines et mondiales indépendantes. Il fournit des scores et des tendances spécifiques au niveau continental, régional et national, sur un large éventail de thématiques liées à la gouvernance, telles que la sécurité, la justice, les droits, les opportunités économiques ou encore la santé. L'IIAG est composé de quatre catégories principales qui constituent le score global de gouvernance : Sécurité et État de droit (i), Participation, droits et inclusion (ii), Fondements des opportunités économiques (iii) et Développement humain (iv). Ces catégories sont elles-mêmes composées de 16 sous-catégories, constituées de 81 critères. L'IIAG s'accompagne d'un ensemble de données complémentaires intitulé "Citizens' Voices", qui rassemble 36 variables de perception publique issues de l’Afrobaromètre, principale institution de recherche panafricaine qui mène des enquêtes d’opinion publique sur le continent. Citizens’ Voices complète les résultats de l'IIAG avec les perceptions et la satisfaction des citoyens à l'égard des services publics. Il s’agit d’une section externe calculée comme un indice distinct, ses scores ne sont donc pas pris en compte dans le calcul des scores de l'IIAG.Les variables jugées cohérentes avec la définition de la gouvernance de la fondation et qui répondent à des normes spécifiques de qualité, de périodicité et de couverture des pays sont d’abord sélectionnées tandis que les valeurs des données brutes manquantes sont estimées. Les données brutes étant issues de sources différentes, elles sont normalisées sur une échelle de 0 à 100 (100 étant le meilleur score possible) pour être comparées et combinées. Une fois les 265 variables normalisées, une méthode simple d'agrégation est appliquée pour calculer les 81 critères. Le score global de gouvernance est égal à la moyenne des scores de ses 4 catégories, les scores de ces catégories sont construits en faisant la moyenne de leurs sous-catégories, tandis que les sous-catégories correspondent à la moyenne de leurs critères. L’indicateur Human Development présente les résultats de la catégorie Développement humain (iv). Le score, qui varie de 0 à 100, est donc égal à la moyenne de ses 4 sous-catégories : Santé (a), Éducation (b), Bien-être et protection sociale (c) et Développement durable (d).Le développement humainDroits fondamentauxde 0 à 100https://iiag.online/about.htmlGlobal Rights Index (CSI), Social protection rating (CPIA), Women’s Social Rights (CIRI), Right to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income), Right to Work (SERF_High Income), Labor Freedom (HF) et Environmental Performance IndexOverall Governance (IIAG), Security and Rule of Law (IIAG), Participation, Rights and Inclusion (IIAG), Foundations for Economic Opportunity (IIAG) et Public Perception of Overall Governance (IIAG)
Public Perception of Overall Governance (IIAG)La Fondation Mo Ibrahim a été créée en 2006 par l'homme d'affaires soudanais Mo Ibrahim. C’est une organisation africaine qui cherche à accélérer le développement et la transformation de l’Afrique en mesurant ses performances de gouvernance afin que le continent s’adapte aux défis mondiaux (santé, climat, sécurité, développement des services publics…). La gouvernance est définie par la fondation comme l’ensemble des biens et services sociaux, économiques, politiques et environnementaux qu’un Etat a le devoir de fournir à ses citoyens. Ainsi, la fondation rassemble une multitude d’acteurs (citoyens, universitaires, gouvernements) qui s’intéressent aux résultats et aux conséquences des politiques mises en place dans les différents pays d’Afrique afin de retenir les plus efficaces. La fondation travaille en étroite collaboration avec des organisations de premier plan (l’Afrobaromètre, la Banque Africaine de développement) et donne une voix importante aux citoyens en leur permettant d’évaluer et de développer leurs propres perceptions de ce que représente la gouvernance Africaine, qui n’est pas seulement basée sur des évaluations faites pas des experts, mais sur leurs propres perceptions et expériences de la vie quotidienne. Afrique 2012 à 2021Depuis 2007, la Fondation Mo Ibrahim publie tous les deux ans l’indice de gouvernance africaine (IIAG), qui évalue les performances de la gouvernance dans une cinquantaine de pays africains. L'IIAG constitue l'ensemble de données le plus complet car il mesure les performances de la gouvernance en Afrique à partir de données provenant de 47 institutions africaines et mondiales indépendantes. Il fournit des scores et des tendances spécifiques au niveau continental, régional et national, sur un large éventail de thématiques liées à la gouvernance, telles que la sécurité, la justice, les droits, les opportunités économiques ou encore la santé. L'IIAG est composé de quatre catégories principales qui constituent le score global de gouvernance : Sécurité et État de droit (i), Participation, droits et inclusion (ii), Fondements des opportunités économiques (iii) et Développement humain (iv). Ces catégories sont elles-mêmes composées de 16 sous-catégories, constituées de 81 critères. L'IIAG s'accompagne d'un ensemble de données complémentaires intitulé "Citizens' Voices", qui rassemble 36 variables de perception publique issues de l’Afrobaromètre, principale institution de recherche panafricaine qui mène des enquêtes d’opinion publique sur le continent. Citizens’ Voices complète les résultats de l'IIAG avec les perceptions et la satisfaction des citoyens à l'égard des services publics. Il s’agit d’une section externe calculée comme un indice distinct, ses scores ne sont donc pas pris en compte dans le calcul des scores de l'IIAG.Les variables jugées cohérentes avec la définition de la gouvernance de la fondation et qui répondent à des normes spécifiques de qualité, de périodicité et de couverture des pays sont d’abord sélectionnées tandis que les valeurs des données brutes manquantes sont estimées. Les données brutes étant issues de sources différentes, elles sont normalisées sur une échelle de 0 à 100 (100 étant le meilleur score possible) pour être comparées et combinées. Une fois les 265 variables normalisées, une méthode simple d'agrégation est appliquée pour calculer les 81 critères. Le score global de gouvernance est égal à la moyenne des scores de ses 4 catégories, les scores de ces catégories sont construits en faisant la moyenne de leurs sous-catégories, tandis que les sous-catégories correspondent à la moyenne de leurs critères. L’indicateur Public Perception of Overall Governance présente les résultats complémentaires “Citizens’ Voices”, c’est-à-dire la perception des citoyens sur la performance globale de leur gouvernement en matière de gouvernance. Le score, qui varie de 0 à 100, est donc égal à la moyenne des 4 catégories : Sécurité et État de droit (i), Participation, droits et inclusion (ii), Fondements des opportunités économiques (iii) et Développement humain (iv), mais du point de vue du public.La qualité de la gouvernance perçue par les citoyensDémocratiede 0 à 100https://iiag.online/about.htmlGovernment Effectiveness (WGI), Democracy Status (BF), Democracy Index (Economist), Voice and Accountability (WGI) et Political Participation (BF)Overall Governance (IIAG), Security and Rule of Law (IIAG), Participation, Rights and Inclusion (IIAG), Foundations for Economic Opportunity (IIAG) et Human Development (IIAG)
Kids Rights IndexL’indice des droits des enfants est développé annuellement depuis 2013 par la Fondation des droits des enfants, une organisation non gouvernementale internationale qui promeut le bien-être des enfants vulnérables à travers le monde et plaide pour la réalisation de leurs droits. La fondation collabore également avec l’école d'Économie de l’Université d’Erasme de Rotterdam ainsi que l’Institut international d’études sociales. L’objectif principal de l’organisation est de dresser un état des lieux de la situation des droits des enfants dans les différents pays du monde. Elle défend et met en place des actions locales pour défendre les droits des enfants en développant ses propres recherches et rapports. Sa particularité est qu'elle implique directement les enfants dans la lutte pour leurs droits en les aidant à exprimer leurs opinions et à prendre des mesures pour provoquer le changement. La Fondation finance notamment des projets locaux qui visent à améliorer directement les droits des enfants vulnérables.Mondiale2013 à 2023La Kids Rights Foundation publie annuellement un rapport qui évalue l’état des droits des enfants dans 193 pays. L’indice des droits des enfants est le seul classement annuel mondial à produire des analyses comparatives des performances des différents Etats en ce qui concerne leurs évolutions et leurs respects des droits des enfants. L’indice est évalué selon les 5 domaines suivants : le droit à la vie (i), le droit à la santé (ii), le droit à l’éducation (iii), le droit à la protection (iv) et l’environnement favorable aux droits de l’enfant (v). Les quatre premières composantes constituent des données quantitatives et sont le résultat d'une analyse intégrée de données existantes de haute qualité publiées par le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Quant à elle, la cinquième composante est calculée sur la base de données qualitatives produites par le Comité des droits de l'enfant qui s’appuie sur la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant. Ce domaine sert à formuler des recommandations concrètes sur la manière dont les gouvernements pourraient s'améliorer dans divers domaines des droits de l'enfant.Les 5 domaines comprennent 20 sous-indicateurs, dont 13 quantitatifs répartis dans les quatres premières composantes et 7 qualitatifs dans la cinquième. Les scores des sous-indicateurs des composantes (i) à (iv) sont normalisés entre 0.01 et 1, puis la note de chacun des 4 domaines est obtenue en faisant la moyenne de leurs sous-indicateurs. Pour évaluer le domaine “environnement favorable aux droits de l’enfant”, la fondation se base sur la notation du Comité des droits de l’enfant qui note, sur une échelle de 1 à 3, 7 sous-critères qualitatifs en s’appuyant sur les différents rapports nationaux des États. Les 7 critères qualitatifs sont les suivants : non-discrimination (1), intérêt supérieur de l’enfant (2), Respect de l'opinion de l'enfant/participation de l'enfant (3), législation nationale habilitante (4), mobilisation du "meilleur budget disponible" (5), collecte et analyse de données désagrégées (6) et coopération entre l'État et la société civile pour les droits de l'enfant (7). Une note de 1 signifie que le Comité a fait des remarques exclusivement négatives, un score de 2 indique des remarques à la fois positives et négatives de la part du Comité et la note de 3 signifie essentiellement des remarques positives du Comité. Ensuite, deux chercheurs de la fondation du droit des enfants, sans concertation, attribuent chacun une note globale du domaine 5 fondé sur la précédente évaluation du Comité des droits de l’enfant. Puis, ces notes sont normalisées en une moyenne des notes reçues. Le score final de l’indice des droits des enfants est obtenu en faisant la moyenne géométrique des 5 domaines, où chaque domaine a le même poids. La moyenne géométrique rend plus difficile la compensation des faibles scores réalisés dans des domaines spécifiques. Par exemple, un score extrêmement faible dans un domaine des droits de l'enfant en ce qui concerne la mise en place d'un "environnement favorable aux droits de l'enfant", ne peut pas être compensé par un score élevé en ce qui concerne "l'éducation". Le score d'un domaine particulier n'est pas calculé s'il manque des données pour plus de la moitié des sous-indicateurs de ce domaine. Le KidsRights Index classe aussi les pays selon un code couleur en fonction de leur score final obtenu. Il existe au total 5 groupes de couleur différents où les pays d’une même couleur affichent des niveaux de performances similaires. Les droits des enfants Droits fondamentaux de 0 à 1https://www.kidsrights.org/ Physical Integrity Rights Index (CIRI), Labor Freedom (HF), Right to Education (SERF_Low and Middle Income), Right to Health (SERF_Low and Middle Income), Right to Housing (SERF_Low and Middle Income), Right to Food (SERF_Low and Middle Income), Right to Work (SERF_Low and Middle Income), Right to Education (SERF_High Income), Right to Health (SERF_High Income), Right to Housing (SERF_High Income), Right to Food (SERF_High Income), Right to Work (SERF_High Income), Overall Governance (IIAG) et Human Development (IIAG)
International IP index La Chambre de commerce des Etats-Unis est un groupe de pression américain qui existe depuis 1912. En tant que plus grande organisation de commerce au monde, elle a pour objectif de favoriser la croissance économique en aidant les entreprises américaines à se développer et à s’insérer dans le contexte macro-économique mondial actuel. La Chambre de commerce est considérée comme le réseau de lobbying le plus puissant des Etats-Unis avec la représentation des 100 plus grosses multinationales américaines. Ainsi, elle sert d’informateur à ses membres en prodiguant des conseils juridiques et des analyses politiques. Elle défend les firmes et joue le rôle d’intermédiaire entre les gouvernants et les dirigeants d’entreprises. Le Centre de politique d'innovation mondiale de la Chambre de commerce des Etats-Unis travaille pour défendre les droits de propriété intellectuelle qui, selon elle, sont essentiels pour créer des emplois, sauver des vies, faire progresser la croissance économique mondiale et trouver des solutions innovantes aux défis mondiaux.Mondiale2012 à 2024Depuis 2012, la Chambre de commerce des États-Unis publie chaque année le rapport International IP Index. L'indice international de la propriété intellectuelle (IP Index) évalue l'état de la propriété intellectuelle dans le monde et constitue un guide pour les pays qui cherchent à renforcer l'écosystème de l'innovation et de la créativité grâce à des normes plus efficaces en matière de propriété intellectuelle. Les données qualitatives et quantitatives qui forment les scores finaux proviennent des législations de chaque pays, de rapports parlementaires, de décisions de Cours de Justice, d’organisations internationales telles que l’OCDE, l’Organisation Mondiale du Commerce ou encore l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle. Les données récoltées permettent aux dirigeants de voir ce qui fonctionne ou non et quels changements sont nécessaires pour assurer un avenir meilleur à leur pays. Dans sa douzième édition, l’indice IP évalue les systèmes de propriété intellectuelle dans les 55 premières économies du monde sur la base de 50 critères répartis en neuf catégories : Brevets, droits connexes et limitations (i), Droits d'auteur, droits connexes et limitations (ii), Marques, droits connexes et limitations (iii), Droits sur les dessins et modèles, droits connexes et limitations (iv), Secrets d'affaires et protection des informations confidentielles (v), Commercialisation des actifs de propriété intellectuelle et accès au marché (vi), Application des droits (vii), Efficacité systémique (viii) et Adhésion et ratification des traités internationaux (iv).Les critères peuvent être notés selon trois méthodes distinctes : binaire, numérique et mixte. Lorsqu’un critère est de nature binaire, il se voit attribuer une note de 0 si la composante particulière de propriété intellectuelle n'existe pas dans une économie donnée et de 1 si elle n’existe pas.Un critère numérique peut être basé sur une source quantitative ou, par exemple, mesurer les conditions d'exclusivité. Les durées d'exclusivité sont calculées en divisant la durée réelle d'exclusivité de chaque critère pertinent par une base de référence standard. Par exemple, la base standard utilisée pour la durée du droit d'auteur est de 95 ans, telle qu’elle est accordée aux œuvres orphelines aux États-Unis. Ainsi, si une économie a une durée de droit d'auteur de 95 ans, la valeur qu'elle obtient pour ce critère est de 1. En revanche, si cette durée est inférieure à 95 ans, alors la valeur qu’elle obtient sera elle aussi inférieure à 1. Lorsqu'il n'existe pas de bases de référence adéquates et que l'existence législative ou réglementaire d'un critère n'est pas suffisante pour déterminer son utilisation ou son application réelle, le score pour ce critère sera basé sur une approche mixte qui procède à une répartition égale entre deux éléments : Législation primaire et/ou secondaire (réglementation) en place (a) et L'application et la mise en œuvre effectives de cette législation primaire et/ou secondaire (b). Les critères mixtes peuvent être notés selon cinq valeurs : 0; 0,25; 0,5; 0,75 et 1. Étant les plus utilisés pour mesurer l’indice IP, ces critères permettent d’introduire une certaine nuance lors de l’évaluation des économies. Il existe notamment quelques cas où un critère mixte peut être divisé en deux éléments distincts. Par exemple, dans la neuvième catégorie, les critères sont mesurés par la signature et la ratification ou l'adhésion à un traité international. Ainsi, la note de 0,5 est attribuée pour la signature d'un traité ou pour la ratification ou l'adhésion à ce traité.Chacun des 50 critères pouvant être notés de 0 à 1, le score cumulé de l'indice IP est compris entre 0 et 50. Il est ensuite multiplié par 2 pour obtenir le score final, compris entre 0 et 100.L’efficacité de la propriété intellectuelle Économiede 0 à 100https://www.uschamber.com/intellectual-property/2024-ip-indexPrivate Property (BF), Property Rights Index (HF), Property rights and rule-based governance rating (CPIA)Global rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC)
LGBT equality indexL’indice d’égalité LGBT a été créé en 2009 par Dan Leveille, développeur qui a choisi de construire un site internet du nom d’Equaldex qui référence les avancées des droits des LGBT dans les différents pays du monde tout en permettant de visualiser les attitudes du public envers les personnes LGBTQ+. Lancée en 2014, Equaldex est une plateforme collaborative, c'est-à-dire que chaque internaute inscrit peut apporter des informations supplémentaires sur les nouvelles ou actuelles législations en vigueur concernant le droit des LGBTQ+ dans les différents pays référencés. La mission d’Equaldex est donc de diffuser les lois et les données d'opinion publique relatives aux droits LGBTQ+ afin de fournir une vision globale du mouvement. Mondiale2021 à 2024Les données sont construites à partir des informations transmises par les internautes concernant l'avancée des droits des LGBTQ+ et du traitement des LGBTQ+ par les populations selon les pays du monde. Les informations envoyées sont ensuite triées par l’équipe d’Equaldex et prises en compte si elles sont justes. Ensuite, les experts réajustent et actualisent les scores des pays concernés par les nouvelles mesures. L’indice d’égalité LGBT évalue 196 pays selon deux composantes principales : l’indice juridique et l’indice d’opinion publique. L’indice juridique est mesuré selon 15 sous-thèmes : Homosexualité (i); Mariage gay (ii); La censure (iii); Changer de genre (iv); Soins d’affirmation de genre (v); Reconnaissance du genre non binaire (vi); Discrimination (vii); Discrimination à l’emploi (viii); Discrimination en matière de logement (ix); Adoption (x); Chirurgie des nourissons intersexués (xi); Militaire (xii); Don de sang (xiii); Thérapie de conversion (xiv) et Age de maturité légale (xv). En ce qui concerne l’indice d’opinion publique, il est évalué selon des sondages et enquêtes réalisés par des organisations nationales ou internationales auprès des individus des différents pays. L’indice juridique est évalué en faisant la moyenne des scores obtenus pour chacun des 15 sous-thèmes. Chacune des 15 sous-catégories est calculée selon un score total possible fixé selon une grille de référence et multiplié par un facteur pondéré selon l’importance des sous-thèmes et leur impact sur les droits fondamentaux. L’ensemble est divisé par la somme de tous les scores totaux possibles. Pour calculer l’indice d’opinion publique, les experts effectuent la moyenne des résultats de toutes les enquêtes effectuées par des organisations réputées selon chaque pays. Ils prennent en compte, pour tous les pays, la valeur des résultats de chaque enquête multiplié par un facteur de décroissance temporelle associé. Cela signifie que les sondages les plus récents ont plus de poids dans l’indice d’opinion publique que les sondages antérieurs. Le tout est divisé par une pondération choisie selon l’importance et l’impact de l’enquête et multiplié par le facteur de décroissance temporelle. Pour chaque enquête, la valeur du sondage retenue pour le calcul de l’indice d’opinion est celle qui a obtenu plus de 50% des réponses. L’indice juridique et l’indice d’opinion publique sont notés sur une échelle de 0 à 100. La moyenne des deux notes sur 100 pour les deux indices donne le score global de l’indice d’égalité LGBT. Égalité des LGBTDroits fondamentaux de 0 à 100https://www.equaldex.com/equality-index
Environmental Performance IndexL’indice de performance environnementale a été créé à par le centre de Yale pour le Droit et la Politique de l’Environnement et par le centre pour le Réseau International d'Information sur les Sciences de la Terre de l’Université de Columbia. Le Centre de Yale pour le Droit et la Politique de l'Environnement est une initiative conjointe de l’école de Droit et de l'école de l'Environnement de l’Université de Yale. Il encourage une réflexion nouvelle et des approches analytiques rigoureuses relatives à la prise de décision en matière environnementale dans tous les secteurs. Outre ses activités de recherche, le Centre sert de lieu de collaboration pour la communauté de l'Université de Yale qui s’intéresse aux questions de droit et de politique liées à l'environnement. Il soutient un vaste programme d'enseignement, de recherche et d'information sur les questions locales, régionales, nationales et mondiales de lutte contre la pollution et de gestion des ressources naturelles. Le Centre pour le Réseau International d'Information sur les Sciences de la Terre de Columbia opère à l'intersection des sciences sociales, des sciences naturelles et de l'information, en se spécialisant dans la gestion de données et d'informations en ligne, l'intégration de données spatiales, ainsi que dans la recherche interdisciplinaire liée aux interactions humaines. Depuis 1989, les scientifiques et les décideurs s'appuient sur ses ressources d'information pour mieux comprendre l'évolution des relations entre les êtres humains et l'environnement. L’EPI est financé par la Fondation McCall MacBain, créée en 2007 par John et Marcy McCall MacBain et située à Genève, en Suisse. Elle a pour mission d’améliorer le bien-être de l'humanité en accordant des bourses d'études et en investissant dans des projets qui tentent de lutter contre le changement climatique, préserver l'environnement naturel et améliorer les résultats en matière de santé.Mondiale2006 à 2024L'indice de performance environnementale (EPI) mesure l'état de la durabilité dans le monde et a pour principal objectif d’influencer les gouvernements vers l’amélioration de l’efficacité de leurs politiques environnementales en promulguant des conseils, en favorisant le dialogue avec les différentes parties prenantes et en fournissant des analyses scientifiques. Les Etats peuvent ainsi comparer leurs performances et aligner leurs politiques sur les pays les mieux notés par l’indice EPI. L'EPI évalue les progrès réalisés par 180 pays à l'aide de 58 indicateurs de performance répartis dans 11 catégories, elles-mêmes réparties selon les 3 objectifs politiques suivants : Atténuation du changement climatique (i), Amélioration de la santé environnementale (ii) Protection de la vitalité des écosystèmes (iii). Le changement climatique (i) se concentre sur le suivi des émissions de polluants climatiques des pays et ne comprend qu'une seule catégorie (a). La santé environnementale (ii) comprend quatre catégories : Qualité de l'air (b), Assainissement et eau potable (c), Métaux lourds (d) et Gestion des déchets (e). Quant à la vitalité des écosystèmes (iii), elle comprend six catégories : Biodiversité et habitat (f), Forêts (g), Pollution de l'air (h), Agriculture (i), Pêche (j) et Ressources en eau (k). L’EPI fournit donc un cadre aux pays pour les aider à déterminer dans quelle mesure ils se rapprochent des objectifs fixés en matière de politique environnementale. L’EPI constitue ainsi un outil puissant pour soutenir les efforts visant à atteindre les objectifs de développement durable des Nations unies, l'Accord de Paris de 2015 ou encore ceux du Cadre mondial pour la biodiversité de Kunming-Montréal. Pour que les données soient sélectionnées dans l’EPI, elles doivent répondre à plusieurs critères, et notamment mesurer des problèmes environnementaux qui concernent la plupart des pays, se concentrer sur les résultats réels plutôt que sur les intentions, provenir de méthodes examinées par des pairs. En fait, les données proviennent généralement d'organisations internationales, d'instituts de recherche, d'universités et d'agences gouvernementales.Pour permettre des comparaisons équitables entre les pays, les données de l’EPI sont normalisées via la division par un dénominateur commun, qui permet d'obtenir des proportions, des taux et des unités par habitant supérieurs aux unités brutes. Pour les 58 indicateurs de l’EPI, chaque pays peut obtenir une note comprise entre 0 et 100, où 100 correspond à la meilleure performance. Les indicateurs se retrouvent placés sur une échelle commune, ce qui permet de faciliter les comparaisons et l'agrégation en un indice unique. Une pondération différente est attribuée à chacun des 58 indicateurs lors du calcul de leur moyenne pour former les 11 catégories qui ont, elles aussi, une pondération différente, tout comme les 3 objectifs politiques dans le calcul de l’indicateur final. À titre d’exemple, pour l’édition 2024, l’EPI accorde un poids de 25 % à la santé environnementale, de 30 % au changement climatique et de 45 % à la vitalité des écosystèmes.La performance environnementaleAction publiquede 0 à 100https://epi.yale.edu/
Women, Business and the Law 1.0 (WB)La Banque mondiale est un groupe composé de cinq institutions : (i) la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), (ii), l’Association internationale de développement (IDA), (iii) la Société financière internationale (IFC), (iv) l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et (v) le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Avec 189 États membres, le Groupe est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il œuvre de manière unifiée pour trouver des solutions durables permettant de réduire la pauvreté et de promouvoir le partage de la prospérité.Mondiale1971 à 2024Women, Business and the Law est un projet de la Banque mondiale qui recueille des données sur les lois et les mécanismes politiques pour évaluer la façon dont ils affectent les opportunités économiques des femmes dans le monde tout au long de leur vie professionnelle. L’objectif est d’assurer l’égalité juridique des sexes et donc de promouvoir et suivre les progrès des pays vers cette égalité afin de garantir les mêmes opportunités économiques pour les hommes et les femmes. Depuis 2009, cet indicateur améliore ainsi l'étude de l'égalité des genres et éclaire les discussions sur l'autonomisation des femmes. Il met également en avant les domaines du droit dans lesquels les femmes continuent de se heurter à des obstacles. L’évaluation des opportunités économiques des femmes se base sur la création de questionnaires administrés à 2400 experts en lois et politiques relatives à la famille, au travail et à la violence à l'égard des femmes. Les experts regroupent un ensemble d'avocats, de juges, d’universitaires et de membres d'organisations de la société civile travaillant localement sur les questions de genre. Pour élaborer son questionnaire, la Banque Mondiale se base sur le cadre juridique international sur les droits humains des femmes, tel qu'il est défini dans la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (CEDAW) et les conventions de l'Organisation internationale du travail (OIT). L’édition 2024 du rapport introduit de nouvelles dimensions permettant d’évaluer les progrès mondiaux vers l’égalité juridique. Contrairement aux années précédentes, elle comporte non pas un, mais deux ensembles de données : Women, Business and the Law 1.0 et une version élargie, Women, Business and the Law 2.0. Le premier couvre 190 pays et évalue les interactions des femmes avec la loi selon huit catégories : Mobilité (i), Travail (ii), Rémunération (iii), Mariage (iv), Parentalité (v), Entreprenariat (vi), Actifs (vii) et Retraite (viii). Le second va au-delà de la simple mesure des lois, en examinant l’existence de cadres soutenant leur mise en œuvre et en évaluant les opinions d’experts sur le statut des droits des femmes. Il mesure trois piliers : les droits juridiques (structure), les cadres d’appui (processus) et les opinions d’experts sur le droit dans la pratique (résultat). La version 2.0 introduit deux nouveaux indicateurs en plus : la sécurité et la garde d'enfants.L’indicateur WBL 1.0 est disponible pour la période 1971-2024, ce qui permet d’établir des comparaisons entre les pays. Il mesure les opportunités économiques à travers 35 questions binaires, répartis dans les huit catégories précitées. Pour chaque question, si la réponse est “oui”, un point est attribué tandis que lorsque la réponse est “non”, aucun point n’est attribué. L’indice est évalué sur 35 points de données qui sont ensuite convertis sur une échelle de 0 à 100, où 1 point précédemment obtenu pour une question rapporte soit 20 points soit 25 points suivant si la catégorie comporte 4 ou 5 questions. Le score pour chacune des 8 catégories se calcule en agrégeant les points obtenus pour chaque question et le score global est obtenu en calculant la moyenne des scores obtenus dans les huit catégories. Un score de 100 signifie que les hommes et les femmes ont les mêmes droits et chances dans les domaines mesurés. Pour que les données soient comparables, la méthodologie est conçue sur un certain nombre d’hypothèses afin de créer une mesure reproductible de l'environnement juridique des femmes en tant qu'entrepreneurs et employées. Par exemple, la femme est supposée résider dans la principale ville d’affaire de son économie, a atteint l’âge légale de la majorité, est en bonne santé, n’a pas de casier judiciaire... L’impact du droit sur les opportunités économiques des femmesÉconomiede 0 à 100https://wbl.worldbank.org/en/wblGlobal rule of Law and Business Index (U.S. CoC & PC), Business Freedom (HF), Women’s Economic Rights (CIRI), Women’s Political Rights (CIRI) et Women’s Social Rights (CIRI) et Participation, Rights, and Inclusion (IIAG)Rule of Law (WGI), Government Effectiveness (WGI), Regulatory Quality (WGI), Control of Corruption (WGI), Voice and Accountability (WGI), Political Stability and Absence of Violence/Terrorism (WGI), Doing Business (WB), Property rights and rule-based governance rating (CPIA), Business regulatory environment rating (CPIA), Public sector management and institutions cluster average (CPIA), Social protection rating (CPIA) et Transparency, accountability, and corruption in the public sector rating (CPIA)